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Message par Danael Ven 29 Mar - 21:21

Tu suivais Nathanael un sac de couchage entre les bras dans son jardin en direction de la tante qu’il avait installé. Tu ne savais pas exactement comment tu t’étais laissé convaincre mais après qu’il t’ait invité pour les vacances tu n’avais pu qu’accepter. Tes parents n’avaient pas été très enchanté que tu ne rentres pas au manoir pour les vacances. Tu avais du faire des pieds et des mains pour les convaincre, usant de toutes tes forces du charmes du petit dernier. C’était à double tranchant d’user de ce don secret, car il signifiait être surprotégé, mais aussi d’avoir plus de chance que tes parents cèdent à tes caprices. Et contre toute attente, ils avaient accepté à condition que tu leur donne des nouvelles. Angry allait être de service durant la semaine mais tu avais été à la fois impatient et excité de poser tes valises chez ton ami poufsouffle. Tu avais déjà visité le monde moldu chez Noam l’été dernier et tu devais y retourner cet été mais tu aimais ce programme imprévu proposé par Nathanael. Cela fait deux jours que tu étais arrivé et que tu passais tes journées en compagnie du jeune Ombrage. Tu le voyais sous un jour différent et tu appréciais la personne qu’il était, comment il se comportait une fois chez lui quand il pouvait totalement être lui-même. Tu avais presque oublier l’incident du baiser, tu ne gardais que le positif et tu ne te posais pas la moindre question. Tu étais simplement heureux auprès de lui, ses parents étaient géniaux et tu ne voulais pas que les jours passent.

Tout au long des deux passer ensemble, Nathanael t’avait parlé d’une activité qu’il aimait beaucoup faire lorsqu’il invitait des amis à la maison, qu’il faisait lorsqu’il vivait encore parmi les moldus. Camper durant la nuit. Et tu devais bien admettre que tu gardais un avis mitigé sur la question. Vous aviez bien une tente aussi chez les Ponds que vous utilisez lors de vos voyages, presque aussi grande que celle-ci mais avec un intérieur spacieux. Vous pouviez chacun avoir votre chambre et même un coin détente. Il y faisait bon vivre et surtout tu n’avais pas l’impression de quitter ton confort pour de vieux matelas et un sac de couchage dans lequel tu allais trembler. Mais il faisait plutôt bon ces derniers jours et tu voulais vraiment lui faire plaisir, alors tu avais accepté. Après qu’il ait posé son sac de couchage, tu le faisais à ton tour réalisant que c’était aussi étroit que ça en avait l’air mais surtout que vous alliez dormir ensemble. Jusqu’à présent tu te servais du lit d’appoint. Ca te faisait étrange de te dire que vous alliez passé la nuit ensemble, surtout que tu te connaissais et tu savais que tu bougeais énormément mais surtout que tu avais tendance à t’accrocher aux autres. Il était temps pourtant, vêtu de ton pyjama bien épais, tu ne regrettais pas de l’avoir prit étant donné la petite brise toujours présente. Nathanael te proposait d’y entrer et tu avais accepté, te glissant à quatre pattes jusque sur le côté droit avant d’essayer comme tu le pouvais de t’enfoncer dans ton sac de couchage. Tu réalisais que le matelas était vraiment petit et pourtant tu ne disais rien, laissant ton camarade venir à son tour s’installer.

Le temps passe lentement alors que vous parliez de tout et de rien simplement éclairé d’une lampe torche. Tu apprécies la soirée, d’avoir son visage si près du tien, de pouvoir te perdre dans ses yeux bleus un brin plus sombre qu’en pleine journée et tu repensais étrangement à ce baiser, ce jour où il avait eu le courage de poser ses lèvres sur les tiennes. Et tu n’en frémissais rien qu’à y penser.  Il se faisait tard et finalement vous décidiez de vous endormir. "Bonne nuit..."  Lumière éteinte, corps enveloppé dans vos cocons pour dormir, tu avais essayé de fermer les yeux. Sans réussir à trouver le sommeil tu laissais le temps passer, écoutant la respiration du jeune poufsouffle. Tu ne savais pas s’il dormait ou non. Lentement t’étais rapproché de lui, mimant ton sommeil pour poser ta main sur son torse. Ton cœur battait la chamade et tu te sentais bien audacieux de ce geste. Tu craignais qu’il ne se tourne ou ne te repousse et pourtant, tu adorais la sensation du myocarde frappant contre sa poitrine, lentement tu t’approchais encore de lui jusqu’à sentir ta tête se poser sur son épaule tel un enfant. Enfin tu t’arrêtais de bouger ne voulant jamais quitter ce moment.


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Message par Aërsan Sam 30 Mar - 11:58

Quand Eloan m'a dit qu'il était d'accord pour venir passer les vacances chez moi, j'ai cru que j'allais sauter de joie. Je ne savais pas comment m'y prendre pour lui proposer et je doutais même que ce soit une bonne idée. Ses parents avaient après tout, toutes les raisons de ne pas être favorables  à ce que je passe du temps avec leur fils après notre intrusion dans le bureau de Rusard ou encore pire s'ils avaient appris que malgré moi j'ai participé à la rebellion d'Aidan contre eux... De plus, j'ai souvenir des photos qu'Aidan m'avait montré du manoir de sa famille. La bâtisse était juste immense et vraiment splendide. À côté, la maison de mes parents avait l'air toute petite et franchement terne.

Pourtant maintenant que nous y sommes,  je ne regrette absolument pas d'avoir osé le faire, bien au contraire ! Malgré mes craintes, Eloan a semblé assez à l'aise avec le mode de vie non-magique et mon père ne nous avait pas fait la moindre réflexion sur la magie comme il a tendance à le faire quand je suis seul à la maison. Maintenant que mon ami était ici dans mon cocon en quelque sorte et pas à Poudlard là où nous sommes baignés dans la magie à longueur de journée, je me sens vraiment plus à l'aise. Il n'y a plus d'histoires de rivalités de maison ici et je ne suis plus l'éternel cancre dont beaucoup se moquent, pas plus qu'il n'est un des meilleurs duelliste et joueurs de quidditch de son année. Ici, nous ne sommes plus que deux amis. Il a pu découvrir ma passion du cinéma. J'ai pu lui faire essayer quelques sports de notre monde comme le football ou le basket mais bien évidemment, je me suis fait battre à plate couture... Il a pu aussi faire la rencontre de mon chat Polochon et se rendre compte que si je suis réputé comme "le garçon aux chats" chez les poufsouffles, je suis encore trois fois plus gaga de mon bon gros matou.

Je n'ai pas vu passé les premiers jours avec lui et pour être franc, plus ça avance plus j'aurais envie de pouvoir remonter le temps pour faire durer ces vacances plus longtemps. J'ai l'impression de redécouvrir Eloan hors du cadre scolaire et sans cette gêne qui s'était installée entre nous depuis mon erreur dans les serres, nous retrouvions vraiment le plaisir de nous amuser ensemble. Je suis heureux qu'il soit de nouveau si à l'aise et plein d'énergie avec moi. Je m'en suis tellement voulu le jour où je l'ai embrassé dans les serres. Tous ces sentiments en moi étaient devenus trop lourds. Après tout ce qui m'est arrivé en janvier, j'étais vraiment en détresse. Devoir rester à distance d'Eloan m'avait fait comprendre à quel point je tenais à lui et que ce que je ressentais n'était pas qu'une simple amitié. Quand il m'avait pris à part, je n'ai plus pu lui cacher ce que je ressentais pour lui. Je l'ai fait fuir... C'était douloureux mais je me suis fait à cette idée qu'il ne souhaitait que nous ne restions qu'amis. J'aurais du m'en douter en même temps. J'ai 15 ans et il n'en a que 13. Je doute qu'il veuille d'une relation avec quelqu'un de plus âgé, un garçon qui plus est ! Mais je peux me contenter d'une relation amicale. Je n'aurais pas pu supporter de le perdre complètement.

Il y a un ou deux jours, je lui ai parlé d'une activité que j'ai toujours adoré faire : le camping ! Que ce soit les virées sur plusieurs jours, les vacances ou simplement des soirées au fond du jardin, j'ai toujours aimé l'ambiance du camping. Ce côté un peu sauvage, ne plus être dans son lit, ne plus avoir toutes les règles de la maison et dans ce cas-là, pouvoir rester discuter jusqu'au beau milieu de la nuit sans que ma mère ne nous envoie nous coucher. Le griffondor n'avait pas semblé être trop emballé par l'idée au début mais il a fini par accepter. J'ai la sensation qu'il fait ça à contrecœur pour me faire plaisir et ça me gêne un peu pour lui mais au fond, je suis sur qu'il va adorer !

Un peu plus tôt dans l'après-midi, je me suis occupé d'installer la tente. Heureusement, je n'ai pas perdu le coup de main avec ça. En même temps, je l'ai montée tellement de fois que j'aurais pu presque le faire une main dans le dos avant de rejoindre Poudlard. Nous avons ensuite passé la fin de la journée à nous amuser en ville et le soir après avoir mangé, nous nous sommes mis en pyjama pour rejoindre la tente. Je me suis maudit intérieurement d'avoir oublié mon pyjama d'hiver au château. Même si les nuits sont un peu plus douces maintenant, je risque d'avoir froid en short et en manches courtes... Au moins, les sacs de couchages sont chauds, je pourrais au moins compter là-dessus !

Une fois notre refuge de la nuit atteint, je dépose mon sac de couchage dans un coin de la tente avant de m'écarter pour laisser mon ami en faire de même. Le regard critique et semblant un peu gêné qu'il jette à l'intérieur de la tente ne m'échappe pas. Je peux comprendre son malaise.... Après tout, je l'ai embrassé alors qu'il ne le voulait pas. Il doit avoir peur que j'essaie à nouveau de me rapprocher de lui. Si je dois être honnête, je dois avouer que ce n'est pas l'envie qui m'en manque. J'ai beau me répéter que ce n'est qu'un ami, je ne peux pas m'empêcher d'admirer son visage quand il sourit, lorsqu'il est perdu dans ses pensées et bien des fois j'ai envie de le serrer dans mes bras, de sentir son corps contre le mien. D'écouter son souffle, d'entendre son cœur... Quelques fois, lorsque je me suis réveillé dans la nuit, je n'ai pas pu m'empêcher de l'observer un peu pendant son sommeil. J'ai honte de faire ça. J'ai l'impression d'abuser de son intimité mais c'est plus fort que moi. Cependant, je sais que je ne ferais rien ce soir. Je me suis promis que quoiqu'il arrive, je respecterai sa volonté et je n'essaierai pas de lui imposer quelque chose dont il n'a pas envie. Il est bien trop précieux à mes yeux pour que je risque de le contrarier.

Après l'avoir laissé se glisser à l'intérieur, je le rejoins. Après avoir refermé la toile derrière nous, nous allumons une lampe torche pour y voir un minimum.

Les heures que nous avons passés à parler de tout et de rien, à plaisanter et à nous raconter des histoires ont été à la fois un moment de plaisir mais aussi une certaine souffrance. J'ai adoré ce moment d'intimité et tout ce qu'on pouvait se raconter mais en même temps, j'ai souffert de voir le visage d'Eloan si proche du mien. Proches comme nous le sommes, je peux voir tous les détails de son visage, de la teinte assombrie de ses iris bleu comme s'ils suivaient l'exemple du ciel. Ses traits si doux et détendus, ses mèches de cheveux qui encadrent son  visage mais surtout, sa bouche fine si proche de la mienne. À chaque petit moment de blanc, lorsque nous restons quelques secondes en silence, de simples sourires habillant nos lèvres, j'ai envie de l'embrasser. Il me suffirait de me pencher un peu en avant. Pourtant je parviens à résister. Je sais que si je fais ça, je vais probablement tout gâcher : l'ambiance, ces vacances mais surtout, la confiance de mon ami.

Finalement vient l'heure de nous coucher. Après avoir souhaité bonne nuit à mon ami, je me glisse au fond du sac de couchage. Le regard vers le sommet de la tente, je laisse filer mes pensées. Je sais que j'ai tendance à m'endormir très vite aussi je ne me fait pas trop de soucis quant à savoir si je vais réussir ou non à m'endormir. J'entend Eloan remuer un peu à côté de moi... Je suis tellement content qu'il soit avec moi, de pouvoir lui faire découvrir un peu mes passions et de pouvoir passer autant de temps avec lui... J'ai tellement de chance d'avoir un ami pareil. C'est la dernière chose que je me dis avant de lentement fermer les yeux, pris par le sommeil.

Alors que je m'enfonce peu à peu dans l'inconscience du sommeil, je suis ramené  à moi soudainement. Je sens un contact sur ma poitrine. Entrouvrant péniblement les yeux, je découvre la main d'Eloan posée sur moi, juste là où se trouve mon cœur. Je me demande si je vois bien ou si je ne suis pas déjà à moitié en train de rêver... Un regard furtif dans sa direction me permet de voir qu'il est en train de dormir. Il a du poser son bras là inconsciemment. En bougeant dans mon sommeil, j'ai du repousser un peu mon sac de couchage, découvrant ma poitrine au passage et c'est ce qui lui a permit de poser sa main là. Le désir me souffle de poser ma main sur la sienne mais je ne peux pas m'y résoudre. Eloan ne voudrait pas ça !  J'ai honte de profiter de ça mais j'essaie donc de me rendormir, profitant de sentir le contact de mon ami tout contre mon cœur.

Un nouveau bruit se fait entendre alors qu'il remue de nouveau. Cette fois cependant, je sentis son corps venir longer le mien. Mon bras se retrouva sous son sac de couchage et je frémis en sentant sa tête venir se poser sur mon épaule. Mon cœur accélère. L'insultant intérieurement, j'essaie de me calmer. J'ai peur qu'il ne sente les battements contre sa main. Qu'il sente tout l'effet qu'il me fait. J'ai malheureusement le réflexe de tourner la tête. Quand mon regard se dépose sur l'adorable spectacle d'Eloan endormi contre moi, je ressens à nouveau tout ce désir que je tente de contenir depuis le début de la soirée. Je ne dois pas le toucher, je le sais. Il ne faut pas que je réagisse. Pourtant... Après tout, il dort non ? Peut-être ne sentira-t'il rien ?...

Je t'en supplie Eloan, pardonne-moi pensé-je.

Levant ma main libre, je l'approche de mon ami. Mes doigts tremblent alors qu'ils s'approchent de ses cheveux. J'ai l'impression de le trahir. Lentement pourtant, ma main se glisse dans sa tignasse douce. Je caresse des cheveux quelques secondes avec autant de précaution et de délicatesse que s'ils étaient en verre. Ensuite, je laisse ma main redescendre vers son épaule. Je ne la garde pas sur lui, je me contente d'effleurer sa peau du bout des doigts. Je ressens le frémissement de la peau fine et douce de son cou. Finalement, ma main se dépose sur son épaule pour la caresser. J'espère ainsi garder son contact sur ma poitrine. Je me mords la lèvre. Ce que je fais est tellement mal. J'ai honte de moi et surtout honte d'autant apprécier ce contact.
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Message par Danael Sam 30 Mar - 13:13

Cette proximité te troublait Eloan sans que tu ne saches l’expliquer. Tu ne parvenais pas à trouver le sommeil tout simplement parce que le visage de ton ami restait ancré dans ton esprit. Son souffle si paisible que tu parvenais à entendre n’arrangeait rien. Ce souvenir de ce jour dans les serres, ne cessait de se répéter en boucle dans ton esprit. Parce qu’à cet instant précis, tu n’avais qu’une envie, poser les lèvres sur les siennes et en apprécier le gout, ne pas vivre quelque chose d’aussi éphémère. Mais tu ne pouvais pas, tu n’avais pas le droit. Deux garçons ne pouvaient avoir ce genre de rapport, c’était quelque chose d’interdit, de sale. Et pourtant, plus que tout tu désirais pouvoir le faire. Pourquoi n’étais-tu pas normal ? Cette pensée ne cessait de hanter tes pensées et pourtant, elle se faisait si petite comparée à cette envie irrésistible. Mais tu n’avais pas le droit, tu ne devrais pas et bien au contraire tu devrais en avoir honte.

Malheureusement, tu ne parvenais pas à totalement de contrôler, parce que tu avais envie se sentir son corps contre le tien, tu appréciais tellement ce moment que tu lui volais pourtant à lui, tomber dans les bras de Morphée. Tu n’avais pas le droit d’ainsi le détailler, d’analyser chaque parcelle de sa peau, de son visage endormi. Alors tu avais fermé les yeux à contre cœur, cherchant bien malgré toi à fermer les yeux jusqu’à ce que ta main ne vienne se poser sur sa poitrine. Là tu sentais son palpitant battre sous sa peau, sous ce haut, seule entrave entre ta paume et son torse. Mais ça ne te suffisait pas, ton cœur réclamait plus, bien plus. Alors tu cédais une nouvelle fois aux caprices de tes envies, gigotant à nouveau sous ce sac de couchage t’éloignant un peu plus de lui, jusqu’à pouvoir poser ta tête sur son épaule. Tu étais quelqu’un de tactile et pourtant c’est avec Nathanael que tu avais du mal à l’être le plus. Parce que tu craignais que chacun de tes gestes soit inapproprié, tu savais qu’avec lui ce n’était pas comme avec les autres et pourtant c’est avec lui que tu voulais le plus l’être. Tu avais tiré son bras de ta main libre sous ton propre sac de couchage pour t’accrocher à lui avant de poser ta tête contre son épaule. Tu craignais de le réveiller, que finalement ce soit lui qui te repousse alors tu mimais le sommeil. Tu gardais les yeux fermés car dans ton imaginaire, tu te sentais protégé de tout.

A ton tour tu l’avais senti bougé légèrement sans pour autant avoir l’impression qu’il ne veuille vraiment se dégager de ton étreinte. Tu n’ouvrais pas les yeux, continuant de mimer le sommeil alors qu’il bougeait. Tu n’avais pas sursauté mais ton cœur s’était emballé quand tu avais senti ses doigts dans tes cheveux ébouriffés. Tu te demandais ce qu’il faisait, ne sachant pas quoi dire ni quoi faire. Tu continuais ton petit jeu alors qu’il caressait tes cheveux quelques secondes. Ce geste t’avait apaisé, calmé et rien qu’avec cela tu aurais pu t’endormir dans le plus beau des rêves. Pourtant tu ne trouvais pas le sommeil, tu ne voulais pas dormir, pas maintenant. Lentement sa main était descendue vers ton épaule, enveloppé sous ce pyjama bien trop épais.  Des frissons te parcouraient lorsque tu sentais le bout de ses doigts effleurer ton cou. Tu avais sans t’en rendre compte relever légèrement le menton pour lui offrir tout le champ libre mais il s’était placé à contre cœur sur ton épaule. Tu doutais qu’il dorme vraiment mais tu ne parlais pas, gardant un sourire qu’il ne pouvait clairement distingué. Ta main sur sa poitrine s’était mise en mouvement en même temps que lui caressant son torse sur lequel tu te sentais si bien, descendant le long de ses hanches en effleurant le tissus pour remonter à nouveau vers son torse. De ta main libre entourant son bras, tu lui caressais l’avant bras, profitant de sa peau douce que tu voudrais embrasser. Ton sac de couchage te tiens bien chaud et tu te sens mal à l’aise à présent sous celui-ci pourtant tu ne bougeais pas. Tu gigotais à nouveau plaçant ton visage au creux de sa nuque t’offrant plus d’espace pour tendrement le caresser du bout des doigts. Et à mesure que ta main descendant sur son flanc pour remonter sur son torse, ta main allait de plus en plus bas jusqu’au atteindre ses hanches. En remontant une énième fois celle-ci, tes doigts s’accrochèrent délicatement à la bordure de son haut qu’ils remontaient légèrement découvrant le haut de ses hanches. Ce n’était qu’un morceau de peau à découvert que tu ne pouvais voir sous son sac, mais un morceau de peau sur lequel ta main venait se loger. Silencieusement sans que ton visage ne bouge ou que ta bouche ne s’ouvre. Tu laissais la paume de ta main contre sa peau découverte sans oser faire le moindre mouvement.


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Message par Aërsan Sam 30 Mar - 16:21

Allongé, immobile, je profite intensément de ce contact si proche que nous partageons comme s'il s'agissait du seul moment aussi intime que je pourrais partager avec quelqu'un de toute ma vie. En un sens c'est un peu le cas. J'aurais certainement d'autres moments privilégiés avec d'autres personnes dans ma vie mais celui-ci, ce serait le seul que je pourrais avoir avec Eloan, le seul avec qui je souhaiterai passer ce genre de moment. Ce ne serait certainement pas comme dans mes rêves. Nous ne nous tiendrions pas dans nos bras, ses lèvres timides ne remonteraient pas dans mon cou en cherchant le chemin des miennes et nous ne nous endormirions certainement pas l'un contre l'autre. Non, ce serait un moment sali par ma malhonnêteté. Un moment où je profiterai honteusement d'une main déposée au hasard de son sommeil sur moi pour le toucher. S'il se réveille maintenant, il va probablement crier, me repousser et me détester à jamais. Ce serait sans doute mérité. Je le sais mais pourtant je ne peux me résigner à le relâcher, profitant au péril de notre amitié du contact de son épaule.

Alors que je sens sa tête tournée de façon à m'offrir l'accès complet à son cou ou que je pense à son torse musclé, j'ai envie de laisser descendre mes doigts. J'ai envie de me promener sur son corps. De sentir sa peau, ses muscles... Si seulement son pyjama était un peu plus fin...

J'hésite à le faire. J'ai peur de le réveiller... J'ai peur de briser tout ce moment. Cependant, je manque de lâcher un petit hoquet de surprise quand c'est sa main qui se met à bouger, me prenant de vitesse. Je reste immobile, tremblotant alors qu'Eloan promène sa main sur mon torse. Là où il fait glisser ses doigts sur mon pyjama je sens mas peau en-dessous secouée de légers frissons, comme l'onde générée quand on effleure la surface de l'eau du bout des doigts. Je songe une minute à imiter son exemple mais son autre main vient se déposer sur mon bras avant de se mettre à le caresser à son tour. Je m'immobilise instantanément, osant tout juste continuer de caresser son épaule de ma main. Pendant de longues minutes, je demeure figé, savourant les caresses de mon ami. À chaque minute qui passe, sa main se fait un peu plus audacieuse, descendant à chaque fois un peu plus bas, suivant chaque courbe de mon torse. Je laisse descendre glisser ma main au bas de son épaule pour venir chercher sa poitrine. Je sens ses pectoraux sous son pyjama. J'en suis les formes aussi de ma main. Sentant combien il est musclé, je me sens un peu faible à côté, moi qui n'ai ni muscle ni graisse. Pourtant il semble tout de même apprécier mon corps qu'il ne cesse de parcourir. Je commence à comprendre qu'il ne dort pas vraiment. J'ai du mal à me le dire mais je doute qu'il puisse faire ça en dormant. Je n'ose rien dire pour autant, ne voulant pas briser cette atmosphère silencieuse. Je lui laisserai le soin de le faire quand il le voudra.

Je reste donc là, prisonnier de ses caresses. À mesure qu'elles s'approchent de mes hanches, je frémis de plus en plus. Je n'ose pourtant rien dire ni rien faire. Je me sens comme pris dans les filets d'Eloan, du bout de ses doigts il me retient aussi efficacement que s'il le faisait avec un sort. De mon côté, je profite de sa poitrine. Je finis par y mettre la main à plat, le caressant du bout des doigts mais cherchant les battements de son cœur sous ma paume. Je me raidis cependant au moment où ses doigts franchissent la limite de mon t-shirt. Ils passent sur la ceinture de mon bas de pyjama, s'attardent un petit peu sur ma hanche avant de remonter. J'ai l'impression que le temps passe au ralenti sur ce mouvement mais ce n'est rien comparé à la remontée vers mon torse puisqu'en franchissant la limite de ma ceinture, au lieu de poursuivre ses caresses, ses doigts accroche le bas de mon haut de pyjama et le remontent un peu, dévoilant toute une partie du bas de mon ventre. Figé, j'attends la suite en tremblant. C'était un accident pas vrai ? Il ne compte pas se faufiler sous...

Cette fois-ci, un léger soupir fébrile m'échappe quand sa main abandonne son petit manège pour profiter de ce petit accrochage pour se déposer sur ma peau découverte. Sans la protection du tissu, j'ai l'impression que ce contact est encore plus intense. Je sens la chaleur de sa paume sur le haut de ma hanche. C'est à la fois effrayant et intriguant. Je me demande jusqu'où il compte aller, craignant que chacun de ses contacts de plus en plus osés ne me fassent sentir des choses que je n'aurais jamais pu imaginer comme ce contact là mais en même temps, j'ai envie qu'il poursuive, qu'il aille plus loin.

Je libère mon bras resté coincé entre nous deux pour caresser légèrement le sien mais je me rends vite compte d'à quel point ce n'est pas pratique pour lui de glisser sa main sur mon torse ainsi avec mon sac de couchage qui en plus cache complètement mon corps.

Je n'ai jamais été très fier de mon corps... Je suis petit et maigrichon. Pourtant le contact si doux d'Eloan me donne envie de l'exposer. De me rapprocher de lui sans qu'il n'y ait quoique ce soit pour me cacher. À contrecœur, je le lâche donc pour récupérer mes bras. Sentant que je lui échappe, je sens qu'il se retire quelque peu. Je ne veux pas qu'il se sente rejeté ou qu'il croie que je cherche à lui échapper. Aussitôt le contact entre nous rompu, je me dépêche de m'extirper du sac de couchage. L'air frais de la nuit vient aussitôt s'emparer de mon corps, mordant ma peau offerte. Je frissonne. Je sens Eloan qui s'éloigne de moi. Si je le suis, je sais que son petit manège risque de reprendre et que je serais à nouveau à la merci de ses caresses mais au fond j'en ai envie. J'aime le contact de sa main sur ma peau, sentir son souffle dans mon cou et son cœur battre dans sa poitrine.

Repoussant mon sac de couchage, je glisse sur le matelas jusqu'à le retrouver. Caressant son cou avec légèreté d'une main, je fais glisser l'autre sur sa poitrine que je caresse aussi. Souriant timidement dans le noir, je déglutis en pensant à ce que je suis en train de faire puis, prenant mon courage à deux mains, j'approche mes lèvres pour déposer un baiser dans son le creux de son cou. Je suis surpris par la chaleur de sa peau contrairement à la mienne en plus se rafraichit au contact de l'air nocturne. Je m'approche encore jusqu'à ce que mon corps vienne épouser la forme du sien. Tandis de ma main descend un peu de sa poitrine pour commencer à caresser son abdomen, je repasse l'autre main dans ses cheveux. Ma tête se pose tout près de la sienne contre son oreiller. Souriant faiblement, j'écoute sa respiration. Quelque chose au fond de moi me souffle de profiter de cet instant, qu'après le calme vient la tempête. Pourtant ça ne m'effraie pas... Au contraire, j'ai hâte de sentir les mains de cette tempête balayer à nouveau mon corps. Mon habituelle pudeur semble s'être envolée. Si c'est pour Eloan, alors j'accepte de me laisser complètement aller, de le laisser profiter de mon corps. Pour lui seulement...
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Message par Danael Dim 31 Mar - 16:44

Des minutes durant, tu avais laissé ta main glissée de bas en haut sur son torse. Tu ne savais pas d’où cette audace te venait mais tu ne faisais que de suivre tes envies. Tu aimais sentir les courbes de son corps glisser sous tes doigts, t’aventurant de plus en plus loin de son torse pour y revenir. Tu y avais senti un corps mince mais pas squelettique, loin de toute rondeur, que tu avais envie de découvrir. C’était indécent d’avoir pareille envie, de laisser passer dans ton esprit pareil pensée. Mais tu ne te laissais pas tirer par le poids de ta culpabilité ce soir, tu suivais ton cœur loin de toute raison, tu te laissais guider par ton instinct. Tu savais que Nathanael ne dormait pas, tu en étais sûr même et le contact de ses doigts dans ton cou te manquait déjà. Tu te montrais tendre et doux tout en t’aventurant lentement de plus en bas tout en te rapprochant de l’élastique de son pantalon. Pourtant il n’était pas ta cible, tu prenais le temps de découvrir chaque parcelle du corps de ce garçon que tu aimais tant bien malgré toi, soumis toi aussi à l’agréable supplice des caresses de sa main sur ton épaule pour venir sur ta poitrine. Tu sentais des frissons parcourir ton corps lorsqu’il atteignait ton torse, tandis que ta main remontait légèrement petit à petit le haut de Nathanael pour t’offrir une légère ouverture sur sa peau.

Timidement tu avais cessé ce petit manège de haut en bas sur son buste pour venir y faufiler ta main sur l’ouverture que tu y avais créer. Sa peau était si douce, si lisse. Tu n’osais pas pour autant réellement ouvrir les yeux, n’assumant pas de porter son regard tandis que ta main explorait son corps. Tu avais peur qu’il ne te repousse que tu n’ailles trop loin. Tu n’étais toi-même pas sûr de la direction que tu empruntais. Ta main posée sur lui n’osais plus bouger, restant immobile sur l’espace qu’elle était parvenue à envahir. Seul ton pouce effectuait un léger mouvement de rotation, caresse discrète et affectueuse tandis que tu attendais un petit instant. Allait-il te laisser faire ou te repousser, tu attendais seulement sa réaction. Tu ne pensais plus convenablement et tu franchissais des limites que tu n’aurais jamais même imaginé atteindre un jour. Tu l’avais senti libérer son bras que tu retenais prisonnier, reposant ta tête sur ton oreiller pour mieux pouvoir l’observer du seul œil que tu ouvrais. La pénombre ne te permettait pas de voir grand-chose mais la lumière de la lune t’aidait à distinguer sa silhouette, la forme de son visage, le morceau de peau clair libéré de son vêtement que tu avais dégagé.


Ton palpitant s’accélérait et tu avais ressenti une pointe de déception lorsqu’il se dégageait. Tu avais d’abord cru qu’il préférait s’arrêter là et tu te sentais mal, honteux. Tu avais rapproché des bras de ton propre torse, le regardant faire avec déception. Pourtant tu t’étais ensuite étonné de le voir s’extirper de son sac de couchage libérant de tout son long, son corps de sa prison de tissu pour s’offrir entièrement à ta vision. Les yeux à présent grand ouvert, tu attendais un peu timidement la suite, savoir s’il comptait se lever ou rester ainsi. Tu brûlais tellement d’envie de repartir explorer le corps de ce garçon faisant battre ton cœur.  Une fois totalement libéré du sac de couchage tu l’avais vu se rapprocher de toi pour ton plus grand plaisir. Tu ne savais pas ce qu’il allait faire ni ce qu’il attendait de toi et pourtant, tu te sentais impatient de le savoir. Tu avais cette fois-ci gardé tes prunelles vertes grande ouverte lorsque tu avais senti ses doigts effleurer la peau de ton cœur d’une main, et à nouveau ta poitrine de l’autre. La sensation était si agréable et à ton tour, tu n’avais qu’une envie te débarrasser de ce haut bien trop épais mais toi seul, jamais tu n’allais avoir le courage de t’exposer ainsi à lui.  C’est alors qu’il avait approché son visage de toi, tu avais d’abord cru qu’il voulait à nouveau t’embrasser et pourtant c’est au creux de ton cou qu’il déposait un nouveau baiser. Un baiser qui t’électrisait totalement tant la sensation était agréable, tu sentais ton corps chamboulé, heureusement bien encore dissimulé sous ton propre sac de couchage. Pourtant malgré cette protection, tu sentais maintenant son corps épouser la forme du tien tandis que sa main part explorer ton abdomen. Tu avais chaud, tu ne te sentais plus à l’aise ainsi recouvert de ta protection contre le froid. Son visage était maintenant si proche du tien que tu pouvais sentir son souffle caresser ton nez.

Sans un mot tu t’étais à ton tour légèrement décalé. Tu ne bougeais pas tant et pourtant le bruit significatif d’une fermeture éclair laissait comprendre qu’à ton tour, tu n’allais plus t’embarrasser de ce sac de couchage. Tu faisais au plus vite, ton corps désirait à nouveau sentir le sien contre lui. Il ne te fallait pas bien longtemps pour te retrouver comme lui, à la merci du froid que tu ne sentais plus. Tu reprenais ta position, ton visage à nouveau si proche du sien. Chacun allongé de profil face à l’eau, tu tentais de distinguer les traits de son visage tandis que ta main repartait sur sa hanche, à nouveau recouverte par son haut. Cette fois-ci sans t’embarrasser de préparatif supplémentaire, tu glissais ta main sous celui-ci pour à nouveau te retrouver contre sa peau. Et pendant un moment, quelques minutes tu t’étais contenter de lentement caresser cette zone, t’aventurant dans son dos, revenant un peu plus sur son ventre, glissant ton index le long de sa peau, autour de son nombril pour revenir à sa hanche. Enfin tu t’arrêtais posant ta main bien à plat, et dans une dernière respiration, tu fermais à nouveau les yeux pour approcher ton visage du sien et y poser tes lèvres contre les siennes dans un baiser furtif, que tu répétais presque immédiatement un peu plus longuement passant ta main dans ses cheveux pour le garder contre toi. L’embrassant timidement encore et encore, plus question de fuir, au contraire tu rattrapais toute ces fois perdue.


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Message par Aërsan Lun 1 Avr - 22:22

À mesure que les secondes défilent près d'Eloan, je sens la fraîcheur de la nuit s'insinuer un peu plus en moi. Pourtant à l'intérieur, j'ai l'impression de bouillir. Mon cœur bat à toute vitesse tandis que je devine les formes de son abdomen sous son haut de pyjama. Ainsi blotti contre lui, je sens son odeur et sa douce chaleur. Je tremble un peu d'appréhension en pensant à ce qui va m'arriver quand il se mettra à réagir mais aussi un peu d'impatience. Je meurs d'envie de me rapprocher de lui, de ne plus sentir cet épais sac de couchage entre nous ou son haut sous ma main. Son toucher sur ma hanche m'a fait vibrer. Je n'avais jamais encore senti ça. J'aimerai pouvoir le lui faire ressentir à son tour mais aussi sentir le contact de sa peau brûlante sous mes doigts. Je me demande si son torse est aussi doux que son cou ? Je n'ose pas trop insister dans sa nuque, ayant un peu peur de le chatouiller plus que de le caresser. Jamais encore je n'avais eu si peur et si envie de toucher quelque chose. Je meurs d'envie de continuer d'explorer son corps mais en même temps, je crains qu'à tout moment, un de mes gestes ne le mette mal à l'aise ou ne lui fasse mal. J'ose à peine poser la main sur son ventre, me contentant de l'effleurer du bout des doigts comme si c'était des plumes. Je sens à peine ses courbes à travers le tissu mais cela suffit à me faire frémir. Ma tête reste toute proche de la sienne. Nos yeux sont ouverts maintenant et je ne peux décrocher les miens des lueurs brillantes de ses iris. Je peux voir ses traits avec un peu de netteté grâce à la lumière de la lune bien que celle-ci soit fortement atténuée par la toile de la tente. Je souriais légèrement, comblé de ma proximité avec Eloan et profondément heureux de pouvoir prendre soin de lui... Quelques instants passent ainsi. Les mouvements de ma main au début assez réduits s'élargissent de plus en plus. Peu à peu, je descends son corps, me rapprochant de son nombril.

Je m'interromps cependant lorsque mon ami se met à son tour à bouger. Retirant mon visage et ma main, je reste immobile à le regarder. Mes yeux brillent d'excitation en se demandant ce qu'il a faire. Repliant les bras sur mon corps pour me essayer de garder un peu de la chaleur de notre étreinte contre moi, j'attends. Finalement, un bruit curieux de fermeture éclair se fait entendre. J'ai tout juste le temps de réaliser qu'il vient d'ouvrir son sac de couchage qu'Eloan fond sur moi. Je souris en voyant son visage en face du mien avant d'écarquiller les yeux en sentant sa main se faufiler sous mon haut. Elle se dépose exactement là où il s'était arrêté tout à l'heure, sur le haute de ma hanche. J'en ai la chair de poule. Timidement, ma main descend vers sa hanche pour lui faire la même chose quand la sienne entre en mouvement.

Si le contact de sa peau sur la mienne était intense, ce n'était rien comparé à la sensation qui me parcoure alors que sa main vient caresser mon dos, effleure mon flanc avant de redescendre doucement vers mon ventre. C'était indescriptible. L'effet m'avait complètement paralysé. Je restais immobile à savourer ses caresses, poussant quelques soupirs de plaisir lorsqu'un frisson me secouait. Au bout d'un moment, son doigts vient carrément effleurer mon nombril. Surpris qu'il aille jusque là et à la fois inondé par le ressenti de sa caresse, j'ouvre la bouche pour pousser un petit hoquet de surprise mais au lieu de cela c'est un petit gémissement fébrile qui s'échappe de mes lèvres. Sursautant en entendant ma propre voix, je baisse le regard honteusement. Je ne me savais même pas capable de pousser des sons aussi aigus... J'ai même un peu honte d'avoir poussé ce petit bruit plaintif. La main d'Eloan s'arrête sur ma hanche. Il est si soucieux de moi...

Gêné comme je le suis, je ne remarque même pas quand il s'approche et écarquille les yeux en sentant ses lèvres se déposer sur les miennes. Avant que je ne puisse réagir, il m'arrache un baiser avant de s'écarter un peu, me laissant tout déboussolé. Puis, lentement, il revient doucement m'offrir un second baiser, puis un troisième, puis un quatrième... Chaque baiser qui passe est un peu moins bref mais toujours aussi léger et timide. Je sens les doigts d'Eloan s'immiscer dans mes cheveux, maintenant ma tête contre celle du lion. Il recule de moins en moins entre chaque baiser. Nos lèvres finissent par ne plus se décoller.

Lentement j'avance mes mains. L'une d'elle est restée sur son flanc. Doucement, elle descend à la limite de son haut, le repousse et s'infiltre en dessous. Je sens toute la chaleur et la douceur de sa peau sous la mienne. C'est tellement agréable... Bien qu'une envie me souffle de descendre sur son ventre, de sentir à nouveau ses muscles sans rien entre eux et mes doigts c'est vers son dos que je laisse glisser ma main. Vibrant au contact de sa peau plus douce que l'amande, je laisse mes doigts s'égarer jusqu'à sentir sa colonne vertébrale. Un petit sourire naît au coin de mes lèvres tandis que je relève mes doigts jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que la pointe de mes ongles qui effleure la peau de mon ami. Je remonte ensuite son dos en suivant le creux de sa colonne. Je sens ses frissons et sa douce chaleur. Une fois arrivé tout en haut, je repose la main et caresse un peu le haut de son dos. Ma seconde main, oubliée derrière la tête d'Eloan se glisse jusqu'à la base de son cou pour caresser sa nuque. Poursuivant mes caresses, j'accroche cette fois-ci ses lèvres afin de prolonger un peu plus notre baiser. En même temps, j'essaie de descendre ma seconde main dans son dos mais son col est trop étroit pour que je puisse m'y faufiler. Déçu, je commence donc à laisser descendre ma main sur son haut. Je me rends alors d'autant plus compte d'à quel point ce tissu épais m'empêche de ressentir la peau d'Eloan.

Frustré, je continue un peu à le caresser ainsi, me concentrant davantage sur la main qui se trouve sous son haut contre son dos. Je me surprends à un moment à souhaiter que son haut ne soit pas là. Qu'il soit torse nu afin que je puisse pleinement de son corps. Très vite je chasse cette idée, choqué d'avoir seulement osé penser à le dévêtir. Eloan est encore si jeune, c'est mal de vouloir lui faire ça... Repoussant cette idée malsaine de mon esprit, je continue notre petit jeu des baisers furtifs. Malheureusement, l'idée continue de planer sur mon esprit. Peu à peu, je commence à douter... Après tout, ma main se trouve déjà sous son haut. Le mal n'est-il pas déjà fait d'une certaine manière ? Le problème, c'est Eloan. Je ne sais pas ce qu'il va penser si je tente ça. Il risquerait de prendre peur... Il ne me laisserait pas faire...

Craignant bien trop la réaction de mon ami, j'essaie de me contenter de la situation actuelle mais la tentation est bien trop forte. Sentir ce tissu me séparer de sa peau si douce devient vraiment insupportable... Peu à peu, mes mouvements se ralentissent. Mes mains finissent par s'arrêter et mon visage cesse de s'avancer pour aller à la rencontre de celui d'Eloan. Une première fois, il parcourt la distance supplémentaire pour m'offrir un de ses baisers. Je culpabilise devant toute sa douceur et son innocence. J'ai l'impression d'être sur le point de franchir une limite... Une limite qui pourrait lui faire peur. Pour être honnête, je suis complètement terrifié à l'idée de ce que je vais faire. Je pourrais abandonner cette idée et l'embrasser à nouveau. Faire comme si de rien n'était. Pourtant cette nuit était spéciale et toute cette passion qu'il m'offrait me donnait du courage. J'avais envie d'être audacieux ce soir.

Enflammé par mes propres pensées, je tente de me redresser. Ma tête est retenue par la main d'Eloan dans mes cheveux. Je lutte quelques seconde pour tenter de la faire céder mais en vain. Devant son regard intrigué, je réalise tout la bizarrerie que mon comportement doit avoir à ses yeux. Tout doucement, je m'approche pour déposer un baiser sur son front. Puis, tout aussi lentement, je me redresse. Cette fois-ci, il me laisse faire. Je regarde son corps étendu dans la pénombre. Ma honte et ma crainte doivent se lire sur mon visage maintenant que je suis au pied du mur...

Après avoir déglutis, je laisse lentement descendre mes mains. Je les place sur chacun de ses flans avant de descendre lentement jusqu'à ses hanche. Là, je prends entre mes doigts le bas de son t-shirt que je commence à relever en douceur. Mes yeux s'écarquillent à mesure que dans la très faible lumière, je vois apparaitre les courbes du torse d'Eloan, ses muscles finement dessinés, sa peau fine luisant doucement. Au fur et à mesure, mes mains viennent se place dans le dos du lion pour continuer de relever son haut. Centimètre par centimètre, le tissu révèle son corps. Arrivé sous ses bras, je le tire vers moi pour le pousser à se redresser à son tour. Pas beaucoup. Il faut juste assez pour que je parvienne à atteindre sa tête. Le désir me fait trembler. Un sourire timide s'est dessiné sur mes traits. Enfin, je fais passer le col du vêtement au-dessus de la tête de mon ami. Une fois son visage extirpé de là, je remonte ses bras afin d'achever de le délivrer de son torse. L'habit encore chaud retombe entre mes bras. Tremblotant d'avoir fait cela, je me contente de le laisser tomber sur le matelas sans plus de considération puis, avant de laisser Eloan se rallonger. Je glisse enfin mes deux mains contre son dos. Son contact est si enivrant que je ne peux résister à la volonté de le serrer contre moi. Logeant ma tête sur son épaule, je laisse glisser mes doigts le long de son dos. L'une de mes mains reprend son petit manège le long de sa colonne vertébrale. La longeant du bout de l'ongle du haut de son cou jusqu'au plus bas de son dos lorsque la ceinture de son bas de pyjama vient arrêter ma descente. Enfouissant mon visage dans sa nuque, j'y dépose quelques baisers. Amusé d'être dans cette position où moi seul ait le loisir de poser mes lèvres sur lui. Sa bouche étant libre, j'ai tout le loisir d'écouter son souffle et j'adore ça

Après un instant, je sens sa peau nue commencer à se rafraichir un peu. Soudain effrayé à l'idée qu'il puisse avoir froid, je ramène mes mains sur ses hanche et accepte de me retirer de son cou pour le laisser se rallonger. Au moins le matelas garderait sa chaleur contre son dos. Puis posant mes mains sur ses épaules, je reprends quelques peu mes caresses. Cette fois-ci, je descend le long de ses bras. Ma bouche est attirée par la sienne mais alors que je passe au-dessus de sa poitrine, je ne peux m'empêcher de venir déposer un baiser juste là où se trouve son cœur. Je remonte ensuite lentement, effleurant presque sa peau , m'arrêtant uniquement pour déposer un baiser dans le cou d'Eloan avant d'enfin retrouver ses lèvres.

Petit à petit je me baisse aussi, laissant mon corps se poser en partie sur le torse d'Eloan. Mes mains après avoir complètement descendu ses bras et caresser les siennes jusqu'au bout des doigts viennent se replacer sur ses flancs qu'elle caressent doucement, remontant ses côtes et descendant jusqu'à ses hanches.
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Message par Danael Mar 2 Avr - 21:36

Timidement tu avais le courage de poser tes lèvres sur les siennes. Cette fois-ci tu en mourrais d’envie, tu ne comptais pas prendre la fuite bien au contraire, plus tu étais proche de lui et mieux tu te sentais. Jamais plus tu ne voulais quitter ses bras, jamais plus tu ne voulais être loin de lui. Ne plus voir ce visage que tu trouvais si beau, si parfait, ses grands yeux dans lesquels tu te perdais et à qui tu ne saurais rien résisté. Tu voulais pouvoir constamment sentir son odeur, la chaleur de sa peau contre tes mains.  C’est pour cela qu’après ce premier baiser furtif, tu lui en avais un second, puis un troisième et même un quatrième… Chacun d’entre eux devenaient plus long, plus habiles. Vos nez ne se cognaient plus, vos bouches s’approchaient de façon plus douce. Parce que cette douceur, tu n’avais jamais rien senti de tel. Ton cœur battait la chamade mais de la bonne façon. Tu ne ressentais pas de stress, mais une forte envie que tu ne comprenais pas, celle de le découvrir, d’explorer son corps, d’être auprès de lui. Tu prenais en assurance, tu avais fini par glisser tes mains dans sa tignasse brune, constamment avoir de l’emprise sur lui pour ne pas qu’il s’enfuit, qu’il te laisse là sur ce matelas.

Lentement, tu avais senti ses mains descendre à la limite de ton haut pour venir s’immiscer sous ton vêtement de pyjama. Tu avais d’abord senti une sensation de chatouille, à léger sursaut avant de te sentir bien plus à l’aise. Le bout de ses doigts étaient tellement doux, agréable. Tu avais lâché un soupire silencieux tant la situation était agréable. Tu ne voulais pas qu’il s’arrête, qu’il continue. Mais ton ami, ton… camarade de découverte faisait encore mieux. Il explorait, se déplaçant peu à peu jusqu’à ton dos, glissant jusqu’à ta colonne vertébrale. Il jouait de toi, testait les sensations que tu pouvais ressentir. Tu l’avais senti suivre le long de ta colonne vertébrale du bout des ongles. Ton buste entier avait frissonner à ce contact si enivrant, une nouvelle fois un soupire d’aise s’échappait de tes lèvres. Tu te sentais totalement sous son emprise, bercé par les caresses dans ton dos d’une main et dans ta nuque de l’autre. Tu le caressais légèrement en même temps, bien trop soumis à son emprise pour réussir à poursuivre tes explorations. Ses lèvres étaient à nouveau venu à la rencontre des tiennes, dans un baiser plus prolongé. Plus intense.  Tu étais à la merci de ses mains, de ses lèvres, de sa personne. Nathanael conduisait les opérations et tu ne pouvais rien faire d’autres que de les accepter pour ton plus grand plaisir.

Lorsque ses mouvements ralentissaient, tu tentais peu à peu de te reprendre. Tu ne pouvais pas que prendre sans rien donner après tout et toi aussi, tu voulais connaitre chaque parcelle de son torse, de ce corps frêle mais que tu trouvais parfait.  Tu l’avais senti s’éloigner et égoïstement tu avais resserré ta poigne derrière sa tête pour le garder près de toi. Pour qu’elle raison voulait-il s’éloigner de toi. Tu étais peut-être trop gourmand mais tu avais l’impression de ne pas en avoir eu assez. Tu ne pouvais t’empêcher de lui lancer un regard intrigué et presque boudeur, d’ainsi vouloir te priver de ce qu’il commençait seulement à t’offrir. Pour seule réponse, tu n’avais eu qu’un baiser sur le front. Le même baiser que tu lui avais fait il y a quelques mois de cela lorsqu’il avait chuté et que tu lui avais demandé de te faire confiance. Ainsi lorsqu’il s’éloignait à nouveau de toi, tu avais finalement cédé libérant ses cheveux de ta poigne. Il se redressait et tu l’observais d’un air intriguant, libérant à la suite son ventre de ta main restante.

C’est assis qu’il avait posé chacune de ses mains sur tes flancs, glissant lentement jusqu’à tes hanches pour se saisir de ton pyjama. Ton regard restait d’autant plus intrigué que tu ne voyais pas où il venait en venir, mais tu lui faisais confiance et tu attendais de voir ce qu’il tenait tant à faire. Ou plutôt tu commençais à comprendre, lorsque lentement, celui-ci avait commencé à relever ton haut en douceur. Ses mains doucement libérait ton ventre de sa prison de tissus, passant dans ton dos, t’obligeant à légèrement le redresser pour continuer sa montée. Tu avais compris que bientôt, tu allais être torse nu face à lui et étrangement, toi qui n’était pas pudique et ne t’étais jamais posé de question, espérait plus que tout aujourd’hui qu’il lui plaise. Arrivé sous ton bras, ton beau  poufsouffle t’avait tiré vers lui pour te redresser à ton tour afin de définitivement te débarrasser de ce haut qui visiblement le gênait. Maintenant à sa hauteur, tu rougissais ainsi exposé à celui avec qui tu ne savais rien résisté. Passivement tu t’étais laissé faire jusqu’au bout. Parce que tu étais prêt à tout pour lui et tu ne savais rien lui céder. Tu restais rouge et gêné mais tu ne faisais pas demi-tour tandis que tu te réalongeais. A nouveau il revenait à ton contact et cette fois-ci, ce sont bien ses deux mains que tu sentais dans ton dos, ainsi que sa tête sur ton épaule. Tu avais l’impression que chaque sensation était décuplée maintenant qu’il n’y avait plus d’entraves entre vous, que le froid venait directement frotter ta peau pourtant si chaude. Il t’enivrait à nouveau de ses caresses et tu ne pouvais qu’être à sa merci à chaque passage de ses ongles longeant ta nuque jusqu’à l’élastique de ton bas le long de ta colonne vertébrale.

Tu n’étais pas prêt, pas prêt à ce qu’il vienne déposer quelques baisers dans ton coup, t’obligeant sans que tu ne te contrôles à lever la tête. Cette sensation, tu l’adorais, elle te mettait presque en état de transe totale. A nouveau tu restais à sa merci,  le lionceau que tu étais avait totalement cédé le pouvoir au blaireau. Tu ne bougeais plus, tu te contentais de subir et de profiter. Tu ne reprenais tes propres caresses le long de son ventre et à ton tour, tu te sentais jaloux. Jaloux de ne pas avoir un accès complet à son torse, à son corps. A encore être gêné par ce haut dont lui s’était débarrasser. Pourtant une nouvelle fois pris de court, tu n’avais pas eut l’occasion de prendre ta revanche pour amener à nouveau les choses à égalité. Son baiser sur ta poitrine t’avait à nouveau fait frissonner. Ton corps était aux aguets et démarrait au quart de tour à chaque fois que ses lèvres se posaient sur lui.

Tu ne pouvais pas rester si passif, toi aussi tu avais envie de jouer et de t’amuser. Lentement et tendrement ta main était venue se poser sur sa joue alors qu’il t’embrassait une nouvelle fois. De l’autre tu continuais de caresser son ventre. Peu à peu tu t’emparais de lui, ne lui laissant plus l’occasion de s’éloigner de toi tu avais lentement glissé l’une de tes jambes sur les siennes posant tes pieds froids contre ses chevilles. Tu prenais peu à peu le contrôle de son corps et pourtant tu n’avais pas pu t’empêcher de sentir cette bosse dure dans son short alors que tu te plaçais. Alors il était dans le même état que toi ? Dans un sens ça t’avait rassuré autant que ça t’avait perturbé. Parce qu’au fond de toi maintenant tu voulais en savoir plus sur ce qui se dissimulait là-dessous. Mais éternellement tu tentais de luter contre tes envies et tes pensées pour te concentrer uniquement sur lui.

Tu avais soudainement prit un élan pour pousser Nath à totalement s’allonger sur le dos, te retrouvant à présent à quatre pattes au-dessus de lui, tes bras de chaque côté de son visage et un sourire espiègle aux lèvres. Le lion ne peut se laisser faire sans se défendre, le lion était le chasseur et non la proie. A nouveau tu l’embrassais, mais furtivement, sur les lèvres… Sur la joue… Au bord de son oreille… Dans son cou. Te redressant à nouveau, tu inspirais profondément avant de t’installer à califourchon sur lui sur son bas vent sans s’y appuyer. Tu t’étonnais de ton audace, de ce que tu faisais même. Alors tu n’y pensais pas et tu te laissais guider. Lentement tu t’étais saisi à ton tour de son haut que tu découvrais peu à peu. D’abord jusqu’au nombril, puis jusqu’à son torse, enfin tu l’arrêtais sous sa nuque. Et à chaque arrêt tu déposais un baiser sur le bout de peau que tu libérais. Enfin à ton tour tu l’avais entrainé avec toi pour le libérer de ce haut, te retrouvant torse nu avec lui. Sa peau si pâle te donnait envie d’en embrasser chaque parcelle. Nathanel n’était pas musclé et pourtant tu le trouvais parfait, tu trouvais parfait son petit ventre plat, sa peau si douce et luisante, encore épargné des sévices de l’adolescence. Ne pouvant garder seul le pouvoir trop longtemps tu te sentais vacillé, sans vraiment savoir s’il s’agissait vraiment de ta volonté ou de celle de ton amant, mais tu finissais par t’allonger sur lui. La peau de son ventre contre la tienne t’électrisait. Tu avais l’impression que vous transmettiez mutuellement votre température, comme pour vous synchroniser. Toi tu l’embrassais à nouveau, caressant sa taille puis ses hanches. L’un de tes doigts s’était aventuré suffisamment bas pour soulever jusqu’à l’ongle son pantalon. Mais tu t’étais dit dépasser trop de limite et tu l’avais retiré.


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Message par Aërsan Mer 3 Avr - 21:18

Je n'arrive pas à croire que j'ai fait ce que je viens de faire et pourtant maintenant que je laisse mes mains glisser librement sur le torse d'Eloan, je n'ai aucun regret. J'ai adoré le toucher de sa peau sur mes lèvres quand j'ai embrassé sa poitrine. C'était si doux, si chaud. Je l'ai senti frissonner à mon contact. Mon sourire s'est un peu plus élargi alors que je suis remonté pour retrouver ses lèvres. Pendant ce temps, je continue de laisser mes mains errer sur son corps. Je suis impressionnent en sentant sa musculature finement dessinée sous sa peau partout où je dépose mes doigts.  Je me sens si frêle à côté de lui.

Mon cœur bat la chamade. Au fond de moi, je ressens un désir brûlant. Plus je le caresse et découvre les détails de son corps, plus j'ai envie de pousser loin mon audace. Je ne peux pourtant pas me le permettre. Eloan est si doux, si pur... Je sens tout son amour dans ses caresses. Je me sens mal d'avoir de tel envies quand lui reste si innocent dans ses caresses. Je repousse donc ma curiosité dévorante pour me concentrer sur la tendresse de ce moment.

Je souris malicieusement quand mon ami repose les mains sur moi mais que mon haut se dresse encore entre ses mains et ma peau. Peut-être aurais-je du lui laisser un peu de temps s'il souhaitait relever mon vêtement afin de profiter un peu plus facilement de mon torse avant que je ne le pousse à s'allonger ?

L'une de ses mains lâche mon ventre pour venir se déposer délicatement sur ma joue. Attendri, mon sourire change un peu d'expression. Je laisse reposer un peu ma tête sur sa main tandis qu'il m'embrasse à nouveau. Amadoué, je me laisse porter par la douceur de son geste. Il est si attentionné... Je me demande si je mérite autant de délicatesse et de gentillesse...

Soudain, je sursaute lorsque je sens sa jambe effleurer mon entrejambe. L'espace d'une fraction de seconde, je vois ses yeux brillants se poser sur le bas de mon anatomie. Horrifié j'assiste impuissant à sa découverte. Son expression surprise ne m'échappe pas quand il remarque la petite bosse qui s'est formé sous mon bas de pyjama. J'ai pourtant un boxer assez serré qui m'empêche d'avoir mon... truc qui ne se dresse trop mais sous les caresses d'Eloan, je n'ai pas pu me contenir. Je l'ai senti réagir un peu à chaque fois que mon ami venait glisser sa main sur le bas de mon ventre. J'ai honte qu'il ait remarqué mon émoi et encore plus honte de l'être tout court. Je recule un peu mon visage et lui réponds d'une grimace affreusement gênée et désolée. Je me décolle de sa main et détourne les yeux des siens. Je n'ai pas l'impression de mériter la pureté de l'un ou de l'autre. Lui ne m'offre que des baisers et des caresses pleins d'affection et moi, j'ai mon sexe qui réagit. J'ai eu beau ne pas vouloir y penser, j'ai quand même réagit.... Je me sens vraiment sale.

Préoccupé par ma gêne et par la crainte de ce qu'Eloan devait penser de moi, je ne fais qu'à peine attention au fait qu'il se tortille sous mon corps. Il doit probablement vouloir se dégager et je le comprendrai...

J'ai un petit sursaut alors que c'est tout l'inverse qui se produit. Sa jambe vient s'enrouler autour des mienne alors que la main qu'il promenait sur mon ventre vient saisir ma hanche. Dans un mélange de douceur et de fermeté, il resserre sa prise sur moi pour me bloquer contre lui avant de me faire basculer sur le côté. Abasourdi par ce retournement de situation soudain, je reste étendu sur le dos comme figé, les yeux écarquillés en voyant mon ami que je tenais il y a une seconde se hisser sur moi. Peu à peu, un large sourire joueur se forme sur ses lèvres. Il vient poser un baiser sur mon visage figé de surprise. Puis un autre sur ma joue, puis au coin de mon oreille et dans mon cou. Je me retiens de rire. Ses bisous me chatouillent ! Je me tourne la tête pour cacher un peu les endroit chatouilleux qu'il a pris pour cible sans pour autant oser toucher le matelas. À chaque endroit où ses lèvres se sont posées, elles ont laissées une drôle de sensation. Comme un genre de petit chatouillis mais plus agréable. C'est un peu comme si je sentais encore son contact, son baiser... J'aimerai pouvoir sentir ça pour toujours. J'ai peur qu'en déposant mon visage contre le tissu du matelas, son contact ne passe sur celui d'Eloan...

Alors qu'il se redresse, assis sur mon bas-ventre, je relève vers lui un regard empli de reconnaissance et d'affection. La réaction de mon corps ne l'effraie donc pas ? Il est tellement gentil.... Je n'arrive pas à croire que j'ai la chance d'avoir quelqu'un comme lui dans ma vie. Sa douceur me touche tellement que je ne réagis pratiquement pas quand à son tour, il saisit mon haut de pyjama. Une fois ses doigts en place, il marque une petite pause pour venir accrocher mon regard. Je sais parfaitement ce qu'il va se passer à présent. Je lui rend son sourire amusé avant de sentir un frisson me parcourir quand ses doigts commencent à remonter le haut de mes hanches, entraînant le tissu avec eux. Une fois mon nombril découvert, il se penche pour l'embrasser. Je frémis en sentant la sensation parcourir mon corps. Je ferme doucement les yeux pour me concentrer sur ce que ressent ma peau. Le glissement du tissu sur mon ventre, les doigts d'Eloan effleurant mes flancs, son souffle m'annonçant avec une toute petite seconde d'avance l'approche de ses lèvres avant de sentir la chaleur enivrante de celles-ci sur ma poitrine. Je me sens submergé par toutes ces choses. Comme si mes nerfs envoyaient trop d'informations en même temps et que ma tête n'arrivaient pas à toutes les traiter en même temps. Je me sens tout drôle. J'ai l'impression de flotter un peu sur ce matelas. Des vagues de frissons viennent éprouver mon corps tandis que les baisers continuent de pleuvoir sur moi. Pris par le courant de cette transe, je me laisse paisiblement relever pour que le lionceau passe ma tête hors du col de mon haut. Comme pour lui tout à l'heure, je sens mon vêtement remonter le long de mes bras, emportant un peu de la fraîcheur de mon torse. Une fois cet habit loin de moi entre les mains de mon ami, je me laisse lentement retomber sur le matelas. Le froid de celui-ci vient mordre mon dos avec une avidité toute aussi féroce que celle dont mon ami a fait preuve ici. C'est ce qui me sors de cet état second dans lequel Eloan m'a plongé. Rouvrant les yeux, je le découvre à nouveau tel une ombre penché sur moi, imposant mais aussi rassurant.

Ses mains viennent se replacer de chaque côté de mon visage sur le matelas quand il s'allonge tout en douceur sur moi. Tout d'abord, je sens ses jambes sur les miennes, puis son ventre vient à son tout toucher le mien suivi de sa poitrine qui s'appose sur la mienne puis enfin sa tête dans mon cou. Sentir nos torses l'un contre l'autre est absolument génial. Je faufile une main entre eux à hauteur de nos nombrils. Le contraste entre sa peau musclée et la mienne complètement lisse de n'avoir ni gras mais surtout ni muscles, son teint légèrement bronzé contre le mien plus pâle et la chaleur brûlante émanant de son corps faisant face à la fraîcheur du mien.... Nous sommes comme feu et glace. Le yin et le yang...

Je me délecte de le sentir contre moi. D'imaginer son cœur battant contre ma poitrine tandis que le mien doit en faire autant. Je m'apprête à glisser mes mains dans son dos quand il se hisse pour venir me voler un nouveau baiser. En glissant sur le mien, son corps remonte mon short qui dévoile mes cuisse, ne descendant qu'à peine quelques centimètre plus bas que mon boxer. C'est là que je ressent un petit choc. Je sens quelque chose venir appuyer contre l'intérieur de ma cuisse. Je me fige, n'arrivant pas à comprendre ce que c'est. Ça fait comme une boule... C'est vraiment chaud... Ce n'est quand même pas... ?!

J'écarquille les yeux en comprenant ce qui est actuellement contre la peau nue de ma cuisse. Un petit nœuds se forme dans ma gorge lorsque cette fameuse boule remonte à la hauteur de mon propre entrejambe... Je dois être idiot de réagir ainsi. Après tout, Eloan est un garçon comme moi et lui aussi a ce genre de réaction. C'est juste.... Est-ce que c'est vraiment pour moi ? Pour mon corps qu'il l'a ?

Me dire que mon ami ressent un désir physique aussi pour moi me met dans tous mes états. Je ne parviens pas à dire si je suis surpris que mon corps suscite pareil désir, choqué que cette réaction vienne de mon ami si pur, soulagé de ne pas être le seul dont le corps réagisse à ce contact, heureux qu'il le partage avec moi toute cette intimité et que cela nous fasse le même effet ou bien encore effrayé de ce qui va suivre... Je n'ai jamais vécu pareil situation par le passé. J'ai peur de ne pas savoir ce qui va suivre. Cependant, je suis vraiment heureux à l'idée d'affronter cet inconnu avec Eloan. Savoir que nous avancions ainsi sur ce terrain dont nous ne savons rien ensemble m'apaise. Je n'aurais pas pu rêver mieux. Ces seules caresses m'en donnent la certitude. Malgré toute mes craintes, ses yeux semblent me dire de ne pas m'inquiéter, que tout se passera bien.

Ses baisers reprennent ainsi que la valse de ses mains. Il reprend possession de mes hanches et de mes flancs. Malgré la tempête de pensées et d'émotions contradictoires qui fait rage dans mon esprit, je commence à me détendre et à me laisser aller au doux plaisir de son contact quand soudain je sens une de ses mains descendre un peu plus loin. Mon corps s'arrête net en sentant l'un de ses doigts se glisser malicieusement sous l'élastique de mon boxer. À cet instant, c'est comme si tout le reste de mon corps cessait d'exister pour ce concentrer sur ce petit intrus. J'ai l'impression que le temps s'arrête. Mon cerveau analyse le moindre détails de ce contact. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine alors que le lion s'apprête à pénétrer le dernier sanctuaire de mon intimité. Finalement, son doigt s'éloigne en toute discrétion si l'on omet le claquement de mon caleçon alors qu'il vient se plaquer contre ma peau, refermant l'accès à ce sanctuaire. Laissant évacuer le souffle que j'ai retenu en sentant son intrusion, je me détend. En fait, je me surprend même à réaliser que je suis un peu déçu qu'il ne soit pas allé plus loin...

Nous reprenons alors nos caresses paisibles, douces et innocentes... Mes mains se posent dans le dos d'Eloan et commencent à le caresser. Pour l'instant pas question de tenter de reprendre le dessus sur le lion. Son corps est bien placé de façon à bloquer les mouvements du mien, qu'il s'agisse de ses jambes enroulées autour des miennes ou de ses mains placées sur mes flancs pouvant à tout instant saisir mes hanches et me ramener à cette position si je devais tenter de retourner la situation. Il doit sans doute se dire que la victoire est sienne et qu'il me tient comme un chaton entre ses mains... En soi c'est un peu vrai pour l'instant mais je ne compte pas le laisser faire jusqu'au bout. Qu'il savoure de m'avoir coincé... Ça ne durera pas !

Après plusieurs minutes sans gestes particulièrement audacieux, je laisse inconsciemment ma main descendre un peu sur son pantalon, effleurant le haut des courbes des fesses de mon ami. D'abord gêné et confus d'avoir touché ses fesses, je me dépêche de remonter ma main dans son dos. Cependant, ce léger accident fait naître en moi une envie de repousser un peu plus loin ma curiosité. Au début tout innocemment, je me contente lors de mes caresses de faire descendre "accidentellement", le bout de mes doigts sur son bas de pyjama sur le bas de ses hanches. Au fur et à mesure, les "accidents" se font de plus en plus fréquents jusqu'à ce que le bas des hanches d'Eloan ne deviennent une étape régulière du trajet de mes mains. D'ordinaire, j'attends d'être de retour sur ses flancs pour ramener mes mains dans son dos mais après de nouvelles incursions sur son pantalon et sans réelle réaction négative de la part de mon ami, je finis par remonter doucement vers ses fesses. Au début ce n'est qu'un doigt ou deux qui effleurent leurs côtés, puis tous les doigts et enfin, après avoir gardé mes mains sur ses hanches un instant, en proie au doute, je me jette à l'eau. Mes mains remontent jusqu'au sommet de ses fesses tout aussi fermes et musclées que le reste de son corps. Mes doigts s'y arrêtent une petite seconde avant de redescendre le long de ses courbes jusqu'au dos à présent familier de mon ami. Je tremble encore d'avoir osé faire ça. Mon cœur bat la chamade. Je guette la réaction d'Eloan avec des yeux brillants de curiosité. En attendant de la cerner, je me limite avec peine à son dos et à ses hanches. Ses courbes pourtant m'appellent... Je ne devrais sans doute pas souhaiter à nouveau le toucher là mais à présent que j'ai pu les effleurer, je souhaite vraiment pouvoir toucher ses fesses à nouveau et les découvrir un peu plus...
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Message par Danael Mer 3 Avr - 23:05

Tu ne savais d’où t’étais venu ce courage ni cette envie de prendre les choses en main. Tu n’étais pas quelqu’un de passif qui attendait bien sagement que les choses se fasse toute seule. Tu voulais aussi être acteur de ce jeu de découverte, explorer à ton tour ce corps qui te donnait envie. Rien ne te faisait peur, ton courage aujourd’hui te guidait à ne pas t’arrêter là à prendre les choses en mains. Tu lui avais retiré son haut, lentement et avec tendresse, embrassant chaque étape de son corps. Tu ne te lassais pas de poser des lèvres sur son corps, tu aimais tellement cela que tu pourrais faire cela encore et encore. Sur son torse, dans son cou, sur son visage mais surtout sur ses lèvres. Tu regrettais de ne jamais avoir saisi ta chance avant, tu avais raté quelque chose d’énorme. Maintenant tu étais au-dessus de lui, toujours en position de force. Tu aimais prendre avoir l’impression que rien n’allait pouvoir le faire fuir. Indirectement tu te disais qu’entre tes bras et sous ton corps, il ne te repousserait pas, il ne laisserait pas ses craintes l’envahir. Parce qu’au travers de la pénombre, tu avais vu l’espace d’un instant son expression changé lorsque ta jambe était entrée en contact avec une partie de son corps que tu n’aurais pas soupçonner être ainsi en forme. Tu n’y voyais pas de mal, tu te sentais rassuré. Ce contact avait été involontaire mais tu comprenais qu’il était normal que ton corps réagisse ainsi et que tu ne sois pas le seul serré dans tes sous-vêtements. Tu devais avouer aussi qu’une pointe de curiosité s’était éveillé en toi. Tu avais envie de découvrir ce secret en lui mais tu n’osais pas. Tu ne pouvais pas et tu ne le feras pas. Tu préférais te concentrer sur lui, le plaisir que tu peux lui apporter au travers de tes caresses. Tu voulais lui rendre au centuple ce qu’il t’avait fait ressentir.

Tout en douceur tu t’étais installé sur lui allongeant ton corps sur le sien. Tu regrettais de plus en plus ce pyjama d’hiver dont Nathanael avait commencé à te débarrasser quand tu réalisais que tu ne sentais pas le contact de sa peau sur tes jambes, recouverte par celui-ci. En revanche la sensation de son ventre sou le tien était indescriptible. Tu avais d’abord reçu comme un choc, provoqué par la différence de température entre vous mais c’était tellement agréable. Lentement ton visage s’était logé dans son cou tandis que tu l’embrassais encore et toujours. Ainsi placé, tu avais l’impression d’être à ta place, entremêlé avec son corps, au plus près de lui. Jamais tu n’aurais imaginé pouvoir vivre pareille proximité mais surtout ressentir tant d’intensité en toi.

Ses mains à nouveau dans ton dos, tu t’étais légèrement hissé en remontant le long de son corps pour que ton visage soit à nouveau à hauteur du sien. C’est ainsi que tu l’avais ressenti, à ton tour, ta bosse contre sa cuisse. Tu avais tant bien que mal tenté de garder cette partie de ton corps surélevé mais cette fois-ci, elle avait totalement frotté contre sa cuisse. Tu te sentais incroyablement embarrassé et tu avais hésité l’espace d’un instant à bouger à nouveau. Mais tu ne voulais pas que ton malaise crée le sien alors tu t’étais replacé à nouveau, ce qui n’avait rien arrangé. Nathanael devait être un poil plus grand que toi en taille et tu avais mal mesuré cet écart puisque tu avais fini par poser ton problème de taille contre le sien.

Tu ne t’arrêtais pas là, au contraire bien malgré toi tu trouvais un côté encore plus excitant à ce contact inattendu. Alors tu reprenais baiser et jeux de tes mains. Tu te saisissais de ses hanches et de ses flancs, partie que tu devais bien avoué adoré caresser tant sa peau était douce, amusé par ses petits sursauts de chatouille par moment et tu le sens qui se détend à nouveau. Sa respiration reprend un rythme plus naturel pour ton plus grand plaisir, tu adores sentir le mouvement de son ventre au rythme de l’air qu’il inspire puis expire. Soudainement prit d’un élan inattendu, tu avais eut l’indécence de descendre l’un de tes doigts jusqu’à l’élastique de son boxer pour l’y glisser en dessous. Tu n’étais pas descendu plus bas et tu ne t’étais pas aventuré trop longtemps sur cette zone interdite qu’il ne t’avait pas autorisé à franchir. Pris de doute, tu avais décidé de t’éloigner de cette partie de son corps que tu ne te sentais pas encore prêt à affronter pour reprendre tes caresses. Ses mains dans ton dos te laissaient une sensation agréable à chaque passage. Ta peau était à l’affut du moindre contact et tu te plaisais à sentir ta respiration se synchroniser à la sienne. Chaque fois que l’un d’entre vous bougeait, son corps caressait tendrement de son torse celui de l’autre. Ce petit jeu durait de nombreuses minutes sans que l’un ne vous ne se lasse bien au contraire. Tu savourais à mesure du temps un peu plus ce jeu de mains, tu te délectais de chaque passage de ses doigts contre ton corps. A un moment, tu avais eut l’impression que le poufsouffle laissait lentement sa main descendre vers tes fesses, qu’il remontait un peu plus à l’instar de ce que tu avais fait quand tu avais passé ta main sous son haut sans oser y aller franchement. Et tu ne t’étais pas trompé au fur et à mesure, ce geste s’accentuait et les contacts devenaient de plus en plus fréquentes jusqu’à ce qu’il ne s’arrête presque définitivement sur le bas de tes hanches. Lentement tu l’avais senti remonter sur tes fesses. A ton tour tu avais été énormément surpris de ce contact sur cette partie de ton corps que tu n’aurais jamais imaginer être attirante, sans pour autant le repousser. Au contraire tu avais trouvé cela agréable et tu aurais presque rêvé pouvoir sentir ce passage de tes doigts sur ta peau nu. Pourquoi par Merlin n’arrêtais-tu pas d’espéré être entièrement nu ? Toujours est -il que tu appréciais ce geste et qu’au contraire tu en redemandais.

Ainsi lentement tu t’étais glissé sur le côté de Nathanael afin qu’il puisse ainsi lui aussi pivoter et avoir plus de liberté avec ses bras et son corps. Mais tu ne le libérais pas totalement pour autant, gardant ton corps collé au sien, entrelaçant tes chevilles aux siennes. Tes caresses s’étalaient sur son corps avec une totale assurance à présent mais tu restais curieux et ton envie de l’explorer n’en devenait que plus grande. Il était si magnifique que tu n’en revenais pas. Jamais tu n’avais trouvé quelqu’un aussi beau. Cela t’apparaissait à présent comme une évidence. Tu longeais son torse que tu ne te lassais pas de redécouvrir, déposant à nouveau un baiser sur sa poitrine pendant que tes doigts passait finalement sur son short par les hanches pour rejoindre sa cuisse que tu caressais de  la paume de ta main. Sa peau restait fraiche c’était tellement agréable comme contact sans compter la sensation de douceur que tu ressentais. Tu profitais qu’il n’ait qu’un short pour explorer ses cuisses, glissant par moment accidentellement tes doigts sous son short jusqu’à ce que ça finisse, comme lui et tes fesses un geste habituel. Tu avançais avec précaution guettant ses réactions. Au moindre mouvement recule, tu t’arrêterais, mais il ne semblait pas. Alors tu avais posé ta main sur son caleçon, entre celui-ci et le tissue de son short, sa bosse juste à côté de ta main que tu n’osais pas encore touché alors que tu en mourrais d’envie.  A nouveau tu caressais ses hanches, entre le boxer et le short. Pouvais-tu ?


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Message par Aërsan Ven 5 Avr - 0:19

Après avoir ainsi osé poser les mains sur les fesses d'Eloan, je reste à l'affut d'une réaction de sa part. J'ai peur d'être allé un peu vite, d'avoir brûlé les étapes ou tout simplement qu'il n'ait pas aimé. J'ai beau avoir envie de sentir ces courbes intimes sous mes doigts, son plaisir passe avant toute chose. Il est hors de question de lui imposer une chose dont il n'aurait pas envie.

Je laisse donc errer mes doigts distraitement sur son dos et ses flancs, préférant laisser son pantalon tranquille. Malgré mon envie de plaquer franchement mes mains pour pouvoir le serrer de toutes mes petites forces contre moi, je m'efforce de les laisser planer, l'effleurant juste assez pour sentir la douceur de sa peau. J'ai l'impression que cela le fait un peu plus frissonner.... Ça doit vouloir dire qu'il apprécie plus que je fasse comme ça ?

J'esquisse une petite moue quand mon ami se déporte sur le côté, me libérant en partie de sa prise. Nous avons gardé cette position depuis de longues minutes et hormis le fait que je sois en-dessous et impuissant face à sa prise, j'adorais vraiment ce moment. Que ce soit son dos qui m'était complètement offert, nos bouches déposées l'une sur l'autre ou son torse qui offrait toute sa chaleur au mien et qui faisait monter en moi une vague de frisson en me caressant dès que l'un de nous deux esquissait le moindre mouvement. Je commençais même à m'habituer à sentir l'entrejambe bouillant d'Eloan qui s'était retrouvé tout contre le mien. Ça me mettait quand même mal à l'aise mais déjà un peu moins. Je commençais à accepter l'idée que je lui fasse de l'effet. Je sentais la moindre réaction de son corps lorsqu'il me caressait et lui pouvait ressentir également tout du mien. Je suis donc un peu déçu de le voir s'écarter. Cela dit, il ne me relâche pas complètement pour autant. Je souris en le voyant s'affairer à garder mes chevilles emmêlées dans les siennes. J'ai l'impression de voir un petit lion s'assurant de garder sa proie entre ses pattes.

Sans la protection de son corps sur le mien, l'air frais vient se déposer sur moi comme une couverture glaciale. Je n'ai plus la mince protection de mon haut et à présent mon short est complètement relevé. J'ai l'impression qu'un courant d'air s'amuse à présent à longer mes formes, faisant courir sur ma peau un frisson de froid bien plus désagréable que ce que la douce chaleur d'Eloan pouvait me donner. Me redressant sur le côté pour revenir face à lui, je découvre un regard songeur sur son visage. Je souris timidement, à la fois flatté mais aussi un peu gêné. Je ne suis tellement pas habitué à être regardé ainsi que je n'ai aucune idée de la façon dont je pourrais réagir. Baissant le regard comme je le fais très souvent dans ce genre de situation pour cacher ma gêne, je laisse mes yeux s'égarer sur les lignes de son corps. À présent que je suis complètement habitué à l'obscurité, je distingue très bien son corps. Je reste ainsi à le contempler pendant de longues secondes. Mon regard est comme prisonnier de son corps. Bien que ses jambes soient enfouies sous cet épais pantalon, je distingue l'un de ses deux pieds si fin. Quant à son torse, il y a tant de muscles sculptant de fines lignes sur sa peau. J'aime tellement son corps.... Contrairement au mien si lisse, le sien est si beau et si détaillé. On dirait qu'il a musclé tout son corps afin de garder des proportions si équilibrées. Mon regard se perd parmi tout ces détails, ne sachant où s'arrêter tant chacun d'entre eux est magnifique. Je ne devrai pas y penser mais j'aimerai tant pouvoir voir ses jambes. Les découvrir et pouvoir poser la main dessus pour en sentir réellement le contact sans tissu pour en cacher la douceur.

Alors qu'un nouveau baiser  en plein milieu de ma poitrine vient me charmer afin de me sortir de ma gêne, je sens sa main passer sur mon short et longer le bas de ma hanche pour venir toucher ma jambe. Dans un petit élan faussement boudeur, j'ai envie de lui dire qu'il triche. Qu'après qu'il ait remonté mon short en se frottant à moi, il n'y a presque plus rien pour couvrir mes jambes. Malicieusement, je songe à autre chose. Lui esquissant un sourire amusé, je laisse descendre ma main jusqu'à sa ceinture sous laquelle je glisse doucement mon pouce. Je m'arrête un instant pour savourer la sensation de sa main brûlante sur ma cuisse. Est-ce que ce sont mes jambes qui sont froides ou sa main qui a encore plus chauffée ? C'est difficile à dire mais en tout cas, son contact est agréable. La sensation est encore différente de mon torse. C'est aussi doux lorsqu'il me caresse l'extérieur des cuisses pourtant lorsque sa main s'aventure à l'intérieur de mes jambes, la sensation devient soudain plus intense. Ça me chatouille mais ça me donne surtout de nombreux frissons.

Après avoir un peu profité de ses caresses, je décide de passer à l'action. Elargissant mon sourire, je laisse glisser ma main le long de sa ceinture. Glissant de sa hanche vers ses fesses et allant le plus loin possible. Une fois que ma main touche le matelas derrière lui, je fais le trajet dans l'autre sens jusqu'à toucher le matelas de l'autre côté sous son bas-ventre. À chaque passage, l'élastique de son pantalon descend d'un ou deux centimètres, révélant peu à peu son sous-vêtement. L'audace de mon ami me laisse deviner que le toucher de ses fesses n'a pas été trop désagréable pour lui. Je n'ai donc aucune honte à jouer à ce petit jeu autour de sa taille, caressant son caleçon du dos de mon doigts et sentant la chaleur qui en émane. Peu à peu, je profite à nouveau de ses fesses. Je ne sais pas trop comment éviter la bosse de son entrejambe et je commence à m'en préoccuper de plus en plus à mesure que j'en approche... Peut-être arrêterai-je mon jeux à ce moment-là ?

Je n'ai cependant pas le loisir d'y penser car alors que je suis à quelques centimètre d'atteindre sa zone sensible, je sens ses doigts s'aventurer sur mon propre caleçon. Peu à peu, sa main vient s'y loger. Elle se pose juste à côté de mon sexe. Mon short étant assez ample, cela ne me gênait pas qu'il laisse ses doigts venir se faufiler en-dessous pour chercher un peu plus ma peau. Cependant, Ce n'est plus du tout pareil maintenant. Il s'est enfoncé si loin sous mon short. J'arrête mon doigt sur sa hanche ainsi que mon autre main qui était restée plus haut sur son torse. Mon regard tremble de peur quant à ce qu'il va se passer. J'aurais du savoir que ce moment allait venir. À force de nous amuser à regarder qui oserait aller le plus loin, nos caleçons allaient forcément finir par être touché ainsi que ce qu'il y a dedans. Je ferme les yeux, appréhendant maintenant le moment où il va remettre sa main en mouvement et que ses doigts vont se refermer sur ce que mon corps a de plus fragile et de plus intime. Ma gorge est nouée... J'égrène les secondes dans ma tête. Me disant qu'une fois le premier contact passé, tout ira bien. Je ne dois pas avoir peur. Je sais qu'il fera attention à moi... Pourtant, je ne peux m'empêcher de trembler un peu.

Quand enfin, ses doigts s'activent et que mon entrejambe assiégée s'attend à être saisie par cette main pleine de convoitise, j'ai la surprise de le sentir partir dans l'autre sens, vers ma hanche. Rouvrant les yeux, je les cligne de surprise quand je viens chercher le regard d'Eloan. Sa main reste bien confortablement installée sur mon caleçon mais elle se contente de me caresser la hanche, redescendant occasionnellement vers mon entrejambe mais s'arrêtant à chaque fois alors qu'elle est à la limite de mon entrejambe. Si ce geste peux faire penser à une tentative d'audace qui n'aurait pas été au bout, le lionceau s'étant dégonflé juste avant la ligne, je sais qu'il n'en est rien. Au fond, j'ai plutôt l'impression que mon ami me demande la permission... Je sens bien comme sa main s'attarde lorsqu'elle est sur le point de toucher mon sexe et  son pouce et son index qui se lèvent comme pour s'apprêter à gravir cette bosse ne m'échappent pas non plus. Me sentant vraiment bizarre, je le fixe du regard d'un regard effrayé comme si j'étais un enfant effrayé à l'idée d'aller chez le docteur. Mes lèvres remuent, brisant le silence d'un infime chuchotement :

-Tu... Tu veux me toucher... là ? Reconnaissant l'étincelle dans ses yeux, je souffle finalement un bref : D'accord...

Ma main lâche alors son pantalon pour se faufiler sous le mien. Une fois arrivée à hauteur de sa main remontée sur ma hanche, je me dépose sur le dos de sa main. Mes doigts viennent prendre son poignet pour l'empêcher de reculer. Esquissant un léger sourire en coin autant pour le rassurer que pour essayer de me calmer, je me tourne pour me remettre sur le dos. Je soulève alors délicatement sa main, l’entraînant aussi haut que mon short peut le permettre. Lentement, je l'amène juste au-dessus de mon sexe frémissant à l'idée qu'il allait être touché.

Mon regard se porte vers mon short déformé par nos mains. Je prends une grande inspiration avant d'expirer doucement, regardant ma main descendre doucement pour déposer celle d'Eloan. Sentant le contact imminent, je détourne mes iris pour regarder le sommet de la tente. Quand quelque chose effleure le tissu fin qui protège le peu d'intimité qui me reste et que je suis sur le point d'offrir, je tourne la tête vers Eloan. Lui souriant faiblement, je relâche sa main. La mienne sort de mon short comme pour lui laisser ce moment. Je songe à reposer une ultime fois ma main sur la sienne pour achever de les mettre en contact mais j'y renonce. Il m'effleure déjà. Ce moment, je le lui offre. Hors de question que je ne le force.

Posant mon autre main sur sa joue, je le caresse tendrement. Ma tête se pose contre son oreiller, de là je le regarde avec tout mon amour et toute ma confiance.

Je suis prêt...
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Message par Danael Mar 9 Avr - 15:27

Tu l’observais tendrement, te perdant dans tes pensées au rythme de tes doigts guidés par une tendresse que tu ne te connaissais pas. Tu n’avais pas conscience que peut-être tu le rendrais mal-à-l’aise. C’est juste que toi tu ne réalisais pas l’instant présent, mais tu réalisais à quel point il comptait pour toi. A quel point Nathanael était parvenu à se faire une place dans ton cœur à tel point que tu ne t’imagines plus vivre sans lui.  

Tu reprenais alors tes esprit, déjà en manque de sa peau, de baiser et de tendresse. Tu venais embrasser sa poitrine, sa peau si douce t’appelait constamment. Tu voulais y gouter encore et encore, ce corps était tellement parfait. Tu n’arrivais pas à croire qu’il soit tien, sous ton emprise. Ca te paraissait irréel. Tu avais l’impression que tu n’avais qu’une chance pour en découvrir le maximum sur lui, qu’il risquait de s’en aller d’un moment à l’autre. Tu ne voulais pourtant que cette nuit ne s’arrête jamais. Tes mains glissaient le long de ses hanches pour rejoindre la peau nue de ses cuisses, tout aussi douce que le reste des parties de son corps que tu avais eu la chance d’explorer sur lui. Au début tu te contentais de découvrir l’extérieur de ses cuisses, tandis que lui descendait sa main jusqu’à la ceinture de ton bas de pyjama bien plus épais que le sien. Ton visage avait lassé s’échapper un petit sourire quand tu avais senti son pouce se glisser sous cette même ceinture, cela t’avait donné un élan de courage supplémentaire te permettant de glisser ta main sur l’intérieur de sa cuisse en même temps qu’il se déplaçait à nouveau jusque tes fesses. Tu sentais son doigt longé ta ceinture de tes hanches au matelas, pour revenir à ton ventre. La sensation de son index en haut de ton aine t’avait d’abord chatouillé avant que tu t’y habitue et que tu apprécies d’avantage ce contact. Y avait-il une partie de ton corps que le contact de ses doigts ne rendrait pas agréable. A chaque passage, tu sentais ton pantalon descendre petit à petit le long de ton caleçon en même temps que ses mains. Centimètres par centimètre, jusqu’à avoir les doigts le long de tes fesses, de tes hanches, de ton aine sans jamais s’approcher de ton entrejambe.


Au même moment, tu avais glissé ta main sous son short s’aventurant sur son propre caleçon. Le tissu semblait tendu au possible moulant à la perfection son corps que tu parvenais à dessiner de tes doigts sans le voir, ta main venait se loger sur le dessus de sa cuisse, non loin de sa bosse que tu n’osais pas touché. Tu regrettais ton audace à l’instant où tu avais vu le regard de Nath changé d’étincelle, passant du plaisir à la crainte. Par réflexe tu l’avais décalé sur le côté, culpabilisant de n’avoir une nouvelle fois pas su t’en tenir aux limites et d’avoir dépassé les bornes. Tu lui adressais un sourire discret, tu comprenais qu’il n’en ait pas envie. Il t’avait suffisamment offert pour ne pas que ta curiosité le fasses se sentir mal. Tu le caressais sous son short pourtant, parce que tu savais que si tu avais subitement dégagé ta main, il se serait senti mal. Alors tu gardais la face en te contentant des parcelles de peau qu’il acceptait de t’offrir. C’était déjà tellement pour toi. Tu étais tombé amoureux de son corps, de ses courbes et de lui.

Tu avais été surpris d’entendre sa voix, pour la première fois depuis que vous vous étiez souhaité une bonne nuit, te demander si tu voulais le toucher là. Tu avais rougi, détourné l’espace d’un instant le regard pour le reposer sur lui. Tes yeux mourraient d’envie de dire oui sans pour autant oser l’avouer. Il prononçait à voix haute tes envies les plus honteuse. Tu avais l’impression pourtant que le poufsouffle t’avait compris.

Sa  main avait quitté ton pantalon pour ton plus grand reflet, pour rejoindre la tienne sous son short et se poser sur le dos de celle-ci. Ses doigts s’étaient saisis de ton poignet, le maintenant d’une poigne nouvelle que tu appréciais. Tu sentais sa peur, mais tu avais la sensation qu’il en avait vraiment envie.  Ton ami, amant du soir, s’était décalé pour se mettre sur le dos t’offrant une vision totale de son corps. Sa peau si pâle éclairait la tente d’une lueur blanche. Ton regard suivait les traits de son ventre jusqu’à rejoindre le point d’entre de sa main par l’élastique de son short, la bosse que créait sa main sur la tienne, puis ton bras s’échappant de son short par la cuisse. Ton cœur battait la chamade et tambourinait ta poitrine. Tu n’arrivais pas à croire ce qui allait suivre.

Et pourtant si, tu avais laissé ta main être guidé par la sienne puis se faire déplacé jusqu’au centre de son corps, vers cette zone totalement secrète qu’il t’autorisait à parcourir. Lentement la pression de sa main sur la tienne t’avait conduit à la poser sur la zone de vos inquiétudes.  La sienne s’échappait te laissant en pleine autonomie. Tu ne sentais qu’à peine le tissu sur ta peau, hésitant définitivement à franchir ce pas. Son regard te rassurait, il t’encourageait même tout comme sa main sur ta joue. Il te redonnait courage et lentement tu avais posé ta paume à plat sur cette bosse source de tant de curiosité. Tu avais ressenti comme une sensation de chaleur. Tu étais surpris, tu avais imaginé cela moins gros. Il semblait plus grand que toi. Lentement tes doigts avaient épousé la forme de cet objet de tous les interdits. Mais tu ne restais pas immobile, tu l’explorais lentement. Et à chaque découverte, tu avais l’impression que c’est dans ton pantalon que ça allait exploser tant la situation te plaisait. Tu ne restais cependant pas qu’ici, redescendant le long de sa cuisse, quittant même son short. Par la suite, tu te retrouvais sur son torse, puis son ventre à nouveau. Et tu avais l’audace de passer ta main sur son short, de le caresser à travers le short et le sous-vêtement, pour finalement te glisser à l’intérieur à nouveau, te saisissant une nouvelle fois de son membre si dur que tu caressais tendrement. Tu continuais ton petit jeu, l’abandonnant encore pour remonter ses courbes jusque son nombril et y redescendre à nouveau. Tu voulais faire monter le désir en lui, qu’il apprécie sans pour autant ne t’attarder que sur son entre-jambe. Rendre ce petit jeu normal et qu’il soit parfaitement détendu.


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Message par Aërsan Jeu 11 Avr - 21:02

Ce contact... Il m'effraie autant qu'il m'intrigue. Je n'ose pas regarder, préférant chercher du réconfort dans les yeux d'Eloan. Je sens le contact de sa main sur le tissu de mon caleçon et rien que ça suffit à faire frémir mon entrejambe. Chaque fois qu'il s'est approché un peu plus de cette zone, j'ai eu l'impression que ses caresses me faisaient plus d'effet. Qu'est-ce que ça va être maintenant qu'il s'apprête à la toucher. Je sens toute l'hésitation dans son regard. Lui même ne sait pas s'il va le faire ou non. Cela ne fait que me déstabiliser un peu plus à mesure qu'il laisse les secondes passer sans ni me toucher ni se retirer. Est-ce que j'ai tout simplement mal interprété ses gestes et me suis emballé ? J'avais l'impression qu'il voulait toucher cette partie de mon intimité mais peut-être que je l'ai brusqué ? Il se sentirait acculé alors ?

Finalement, ça arrive. Je sens sa main lentement se déposer comme un linge venant se poser là et épouser la forme de ce sur quoi il repose. Aussitôt, mon corps est balayé par une secousse que je n'avais jamais senti. D'abord, je ressens ce contact bizarre dans mon sexe et en à peine une seconde, je le sens irradié dans tout mon corps. Je gémis faiblement tandis que ses doigts se referment sur mon entrejambe. Son geste est infiniment doux pourtant je ne me suis jamais senti aussi fragile et fébrile. Mon énergie semble avoir disparu en même temps que le peu d'intimité qu'il me restait. Mon corps est pris dans une sorte de transe. Ma main arrête de caresser la joue d'Eloan et retombe sur le matelas. C'est bizarre de le dire comme ça mais mon corps semble s'être effacé pour mon sexe.... À chaque mouvement de la main d'Eloan, je tressaille puis retombe avant de me raidir brièvement ou de me tortiller lorsque je sens ses doigts modifier leur prises. Ma gorge est serrée et mon souffle est tout bizarre. J'ai du mal à respirer par le nez. À la place, j'inspire doucement par la bouche avant d'expirer en poussant de légers soupirs tremblants. Cette sensation a complètement pris possession de moi. C'est vraiment effrayant... J'ai déjà fait ça... Enfin avec mon propre entrejambe mais jamais ça ne m'avait fait autant d'effet. Eloan avait-il l'habitude et savait le faire d'une façon qui me ferait tellement réagir ou est-ce que c'est parce que c'est lui tout simplement que je réagis autant et que je suis à la merci de son contact ? Je ne saurais pas le dire... Pourtant j'ai envie qu'il continue. Pire, j'appréhende le moment où il va arrêter...

Cela finit malheureusement par arriver bien évidemment. Je sens sa chaleur abandonner mon entrejambe pour redescendre sur ma cuisse avant de repartir vers mon ventre. Cet espèce d'état second s'estompe rapidement, me laissant une horrible sensation de vide et de froid. Son contact n'avais duré que quelques seconde mais pendant cet instant, je m'étais senti comme flotter et aussi bizarre que ça puisse être, cette sensation me manque. Moi qui avait offert ce toucher à mon ami malgré ma peur de ce que sa curiosité le mènerait à me faire une fois contre cette partie si fragile de moi, je n'avais pas une seule seconde imaginé qu'il réveillerait une telle vague de sensations et de désir en moi. Je brûle de reconduire sa main à cet endroit pourtant je reste immobile. Mon corps est comme vidé de ses forces après avoir ressenti autant de choses. Mes membres tremblent encore un peu et je suis essoufflé comme si j'avais couru pendant plusieurs minutes...

Le lionceau ne me laisse pas pour autant. Ses doigts continuent de se promener au gré de leurs envies sur le bas de mon ventre et autour de mon nombril, m'arrachant quelques frissons encore. Puis je sens sa main passer sur mon short à nouveau. Un bref espoir m'embrase. Il s'accomplit quand ses doigts viennent caresser légèrement mon point sensible à travers les deux couches de tissus. Celui-ci réagit en se redressant un peu plus. En le manipulant, mon ami lui a permis de se dresser un peu plus et de s'allonger un peu. Je me sens vraiment serré dans mon boxer maintenant mais cela m'importe peu car je sens à nouveau cette main si douce à la fois désireuse et désirée s'introduire sous mon short pour revenir prendre possession de moi. M'abandonnant une nouvelle fois à mon ami, je retombe dans cet état de faiblesse, enivré par le contact de ses doigts.

Les aller-retours entre mon torse et mon entrejambe se multiplient pendant de longues minutes. Je commence à comprendre doucement le manège du griffondor. Comme il s'y était pris pour s'infiltrer sous mon haut un peu plus tôt ou comme moi pour ses fesses, il s'approchait avant de se reculer en s'attardant chaque fois un peu plus, comme pour m'habituer à son contact. À chaque aller-retour, il est un peu plus confiant et me garde plus longtemps entre ses doigts. Je commence aussi à m'habituer à cet état second. Progressivement, je ne suis plus paralysé lorsque sa main vient explorer mon sexe et je parviens à reprendre doucement mes mouvements.

Alors qu'Eloan laisse une nouvelle fois mon caleçon pour se rediriger vers mon bas-ventre je me redresse lentement, encore assez fébrile. Je tends mes bras tremblant vers lui pour l'étreindre. Ma tête vient se nicher contre son épaule tandis que mes mains caressent son dos. Je l'aime.... Je l'aime tellement. Je pourrais en pleurer. J'ai envie de le lui dire, de le remercier de me faire sentir un tel amour. D'être ce qu'il est et de faire tout ce qu'il fait. Ça m'énerve... Je n'arrive pas à trouver de mots pour décrire ce qu'il me fait ressentir. Pourtant mon cœur bat tellement fort dans ma poitrine grâce à lui...

Mes yeux s'embuent d'émotion tandis que je relève la tête pour l'embrasser. L'espace d'une seconde, je le serre aussi fort que je le peux contre moi mais mes lèvres elles, se posent avec la légèreté d'une plume sur les siennes. Notre baiser se prolonge et pourtant, je sens bien vite que quelque chose à changé... en moi. Comme une sorte de flamme brûlant dans ma poitrine. Ce baiser ne me suffit plus... J'ai envie de ressentir son corps contre le mien, sa peau réchauffer la mienne, ses jambes nues s'enrouler autour de moi sans cet épais tissu pour nous séparer.

Je le pousse à s'allonger sans pour autant interrompre le contact de nos lèvres. Mes mains quittent son dos alors qu'il touche le matelas pour venir se placer de chaque côté de lui. Lentement, je me place au-dessus de lui. Presque à contrecœur, j'achève notre baiser pour me redresser. Afin de l'empêcher de se redresser, mes mains viennent doucement se poser sur ses épaules qu'elle caressent quelques secondes. Après m'être assuré qu'il ne compte pas se relever, je descends doucement mes mains sous ses bras, caressant ses côtes, puis ses flancs avant d'atteindre ses hanches. Je suis installé sur lui et même sans oser m'asseoir réellement sur lui, j'effleure sa peau de mes fesses en reculant.

Une fois mes doigts arrivés à la ceinture de son pantalon, je me déplace sur le côté afin de libérer ses jambes. Je m'arrête un instant là, caressant ses hanches. L'une de mes caresses s'égare même un peu et passe à tout juste un centimètre de sa bosse. Je n'ose cependant la toucher. Je ne le ferais que le moment venu, quand il le souhaitera.

Je poursuis mes caresses sur sa ceinture et sur le haut de son boxer révélé. Mon regard vient chercher le sien. La lueur que j'ai vu tout à l'heure dans ses iris s'est rallumée et brille ardemment. Souriant en sentant son désir, je cesse alors mon petit jeu et au lieu de continuer à le faire se languir, je place mes doigts de chaque côté de son bas. Pinçant le tissu, je le baisse délicatement en restant contre ses jambes. Lentement, mon pouls s'accélère quand je vois apparaître ses cuisses, puis ses genoux, puis ses mollets, puis ses chevilles... Une fois arrivé au niveau de ses pied, je lâche sa ceinture pour aller chercher le bas d'un des pans du pyjama. Le saisissant délicatement, je tourne mon regard vers Eloan. Je me sens joueur, pourtant je ne me fais pas davantage prié, pour le passer au-dessous de son pied, achevant de libérer une de ses jambes. La seconde est extirpée dans la foulée.

Le pantalon me privant du contact des jambes de mon ami entre les mains, je pose un regard tremblant d'admiration devant son corps étendu sous mes yeux. Sa peau tout juste bronzée semble un peu plus sombre que d'ordinaire, luisant en revanche sur les lignes dessinées par ses muscles. comme pour les mettre en valeur. Il est parfait... Juste si parfait. J'en perds mes mots...

Ne pouvant résister à l'envie de toucher ce corps si beau, si finement sculpté, tellement plus beau que le mien... Je pourrais le contempler des heures. Laisser mon regard se perdre sur ses courbes. J'en frissonnerai presque quand mes mains se déposent sur ses chevilles. Je les caresse tout en remontant lentement vers ses mollets. J'adore la sensation de sa peau si douce et les courbes adoucies de ses jambes malgré les muscles que je sens sous mes doigts. Passant par le creux de ses genoux, j'atteins ses cuisses. Leur forme est si parfaite et leur toucher si doux que je ralentis encore plus ma progression, laissant mes mains les parcourir, alternant entre l'intérieur et l'extérieur de celles-ci. Mes doigts arrivent de plus en plus proches de son caleçon. Le noir d'ébène de celui-ci ne me laisse rien voir des formes d'Eloan si ce n'est une bosse rendu un peu plus claire par le peu de luminosité ambiante. Mes doigts s'arrêtent d'ailleurs à un ou deux centimètres de celle-ci alors que je suis arrivé au somment de la partie révélée de ses cuisses. Je m'arrête un instant sur place, caressant une dernière fois sa peau si douce avant de monter mes mains sur son caleçon. Mes doigts suivent les formes de l'entrejambe de mon ami, restant toujours à la même si courte distance de celui-ci. Mon sourire s'élargit lorsque je le sens frémir au moment où mes doigts atteignent la jonction entre ses cuisses et son aine. Je les arrête là pour caresser cette zone tandis que je me baisse pour embrasser délicatement son bas-ventre, juste au-dessus de la ceinture de son sous-vêtement. La réaction du lion ne m'échappe pas et m'amuse beaucoup. J'ai la sensation que je ne devrais pas ainsi jouer avec le feu de son désir et que plus je le fais, plus je risque d'attiser une réaction de sa part. Je ne peux pourtant m'empêcher de continuer. Alors que je j'allonge mon torse sur le sien, savourant de retrouver le contact de sa poitrine contre la mienne, mes mains glissent le long de son boxer pour aller trouver ses fesses. Je ne peux retenir plus longtemps un sourire malicieux d'apparaitre sur mes lèvres tandis que mes doigts passent sous son corps pour retrouver cette partie tant désirée.

L'une de mes mains remonte dans son dos. L'autre en revanche ne peut se résigner à abandonner les courbes de son fessier. Dans le même temps, je nous fait basculer sur le flanc pour que nous soyons à la même hauteur. J'avance enfin mes jambes pour les emmêler aux siennes, profitant enfin du contact de ses mollet et de ses cuisses contre les miennes bien que mon short ne soit redescendu et qu'il couvre une partie de mes jambes... Je savoure d'être ainsi contre lui. Quelque chose en moi me dit que j'ai peut-être poussé un peu loin son désir quand je sens son entrejambe si ardent contre moi... Je n'en suis pourtant pas le moins du monde désolé !
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Message par Danael Ven 12 Avr - 17:11

Cette sensation était incroyable, tu n’arrivais pas à croire que vous aviez passé ce cap. Que tu baladais tes mains sur son ventre, entrant et sortant librement de son short pour aller caresser ce fruit défendu que tu n’aurais jamais espéré pouvoir un jour toucher dans tes rêves les plus fous. Tes doigts se promenaient librement sur ce corps que tu commençais maintenant à connaitre un peu mieux sans jamais te lasser. Tu sentais aussi le corps de Nathanael bien plus détendu, le souffle court, tu essayais de faire monter son désir au maximum. Tu ne savais pas si ce que tes mouvements maladroits lui faisaient du bien ou pas, mais tu essayais de faire de ton mieux. Tu avais peu d’expérience avec ton propre corps alors tu te sentais peu à l’aise sur le corps d’un autre. Mais tu apprenais et tu n’abandonnais pas.


Après quelques minutes à t’amuser à voguer entre son ventre si doux et son caleçon bien plus dur, tu l’avais senti se redresser lentement pour t’étreindre. Surpris, tu avais eu envie qu’il reste allongé pour te laisser jouer encore un peu avec son corps mais Nath ne l’entendait pas de cette oreille. Sa tête sur ton épaule et ses mains dans ton dos, tu n’avais pu que capituler sans vraiment chercher à te débattre. Tu aimais que Nathanael reprenne le dessus, qu’il guide cette danse dans laquelle vos mains exploraient la peau de l’autre. Tu avais répondu à son baiser lorsqu’il était venu t’embrasser. Ce baiser tu l’avais senti différemment, plein d’émotion et tellement empli d’amour. Tu n’avais pu que fermer tes grands yeux verts, savourant ce contact de vos lèvres l’une contre l’autre. Votre baiser durait et se prolonger, et à nouveau tu ressentais un bonheur tel que tu ne l’avais jamais ressenti.


Guider par ses lèvres, tu avais suivi le mouvement qu’il t’insinuait, t’allonger sur le dos sans interrompre le baiser. Ses mains quittait son dos pour se placer de chaque côté de toi, te rappelant quand toi, tu lui avais retiré son haut dans la même position. Lorsqu’il achevait votre baiser pour se redresser, tu ne pouvais t’empêcher d’afficher un grand sourire, le contemplant ainsi au-dessus de toi. Tes mains se posaient sur ce torse nu, se baladant le long de son corps avant de se poser sur ses hanches quand ses mains viennent quant à elles sur tes épaules.  Tu acceptais de rester passif, ainsi allongé et totalement à sa merci, tu avais bien compris le message. Tu le laissais faire. Tu ne regrettais pas lorsque tu sentais ses doigts glisser le long de tes côtes, ses fesses elles suivaient le long de ton corps. Lentement mais pourtant bien trop vite à ton gout, ses doigts étaient arrivé jusqu’à la ceinture de ton pantalon. Tu le fixais d’un air intrigué, mais le regard plein d’envie. A cet instant, Nathanael se déplaçais sur les côtés pour libérer tes jambes. Il te caressait les hanches, passaient non loin de ta bosse. Tu avais ressenti un brasier en toi lorsque tu avais cru qu’il allait toucher ta bosse, une crainte certaine mêlé à une envie frustrante de ne pas connaitre cette sensation. Tu ne savais pas ce que tu voulais mais tu restais à sa merci, au gré des mouvements qu’il exerçait de ses mains. Tu le sens se balader sur le haut de ton boxer qu’il avait déjà révélé. Toi tu le fixais, tu fixais ses traits concentrés. Qu’il était beau ainsi soucieux du plaisir qu’il veut t’apporter, plongé dans ses pensées les plus secrètes. Tu aurais aimé pouvoir le prendre en photo et gravé ce visage si beau à jamais. Tu le fixais d’un regard empli d’envie et de désir, tu aimais cette situation et tu aimais ce qu’il faisait, tu ne voulais pour rien au monde qu’il s’arrête et pourtant c’est ce qu’il faisait. Tu ne fus déçu qu’une demi-seconde alors que tu sentais ses doigts accroché ta ceinture de pyjama. Tu le  sentais descendre lentement, tu avais légèrement redressé les fesses pour l’aider à te le retirer. Celui-ci ne s’arrêtait qu’à tes chevilles après avoir dévoiler ton boxer. Tu te sentais un peu mal à l’aise, les joues légèrement rouges, traduisant un léger malaise. Son regard t’intimidait. Tu savais qu’il ne te jugeait pas mais tu ne pouvais pas t’empêcher de te sentir si faible ainsi explosé. ses mains continuaient à te dévêtir, tirant par la suite ton bas avec ton aide afin de totalement libéré tes pieds. Tu sentais à présent les courants d’air sur tes jambes pourtant toujours chaudes, c’était sans doute ce qui te donnait tant froid. Une vague de frissons parcouraient tout ton corps, affichant une légère chaire de poules presque trop visible. Tu ne savais pas quoi dire ni quoi faire, ainsi tu restais allongé, ainsi exposé à son regard pourtant tellement expressif. Enfin il avait repris le contact pour ton plus grand plaisir, ses mains s’accrochant à tees chevilles, remontant vers tes mollets. Tu expirais lentement, fermant les yeux pour te concentrer uniquement sur ce contact nouveau. Il atteignait tes cuisses au fil de ses caresses, et toi tu avais l’impression d’être totalement à sa merci. Ses doigts s’approchaient de ton caleçon, et tu avais à nouveau ressenti ce stress, le voir si proche de ta bosse que tu trouvais bien plus petite que la sienne. Pourtant jamais il ne te la touchait directement, au contraire, il suivait sa forme, la longeait jusqu’à rejoindre ton aime. Tu n’ouvrais les yeux qu’en sentant ses lèvres se posé sur ton bas-ventre, surpris d’un tel contact, surpris par la douceur de ce visage sur cette zone très sensible. Surpris de sentir son visage si proche de ta plus grande intimité. Ta respiration s’était accélérée bien que tu tentes de garder ton calme. Tu aimais tellement Nathanael pour tout, encore plus maintenant que tu découvrais tout l’amour qu’il pouvait t’exprimer.

A nouveau, tu l’avais senti allonger son torse contre le tien, tu savourais à nouveau le contact de sa poitrine sur la tienne, de ses jambes sur les tiennes. Tu avais entouré sa nuque de tes bras lui volant un énième baiser tandis que ses mains quant à elles, glissaient rejoindre des fesses. Surpris tu l’avais fixé, si proche de toi et tu n’avais pu que lui faire un sourire amusé de cette situation qui te plaisait. Tu aimais le sentir ainsi prendre littéralement les choses en main et tu aimais être à sa merci. Sans aucune résistance, tu t’étais ainsi laissé glisser sur le flanc lorsqu’il t’avait emporté avec lui. Tu l’avais laissé entremêler ses jambes aux tiennes à nouveau, découvrant le contact de tes jambes nus contre les siennes, tu aimais ainsi être contre lui, là où tu voulais toujours être.  Tu avais glissé ta main sur son dos l’attirant un peu plus contre toi, posant tes lèvres sur les siennes, ta main glissait dans son dos, atteignait l’élastique de son short.

Piqué à vif et frustré de devoir encore te glisser sur son short pour atteindre son fruit défendu, tu avais inversé votre position pour glisser sur lui, comme tu l’avais été auparavant. Collant tout de même ton torse au sien, tu l’avais embrassé dans le cou, frottant légèrement sans t’en rendre compte ton entre-jambe à la sienne. Ce mouvement ne dura que quelques secondes puisque que tu avais redressé tes jambes pour pouvoir reculé. Tu embrassais son torse que tu aimais tant avant de caresser les courbes de son ventre, glissant de ton doigt jusque son nombril. Ta main à nouveau pénétrait sous ce short devenu trop imposant à ton gout pour que tu caresses à nouveau sa bosse, veillant à ce que son état n’ait pas changé. A présent tu n’avais plus honte de fixer Nathanael dans les yeux en le caressant, une lueur de défi dans le regard. Un regard brillant ardemment de désir. Tu l’avais sorti à nouveau, te déplaçant pour ne plus être sur lui mais à ses côtés. Tu l’avais senti se redresser, mais d’une main ferme posé sur sa poitrine, tu lui avais fait comprendre de ne pas bouger. Tu fixais se short, dont tu te saisissais pour le faire glisser le long de ses jambes, dévoilant un boxer en motif de marinière. Tu fixais cette bosse qui te paraissait encore plus grande à présent que tu la voyais déformé le tissu que lorsque tu l’as touché. Seulement quelques secondes avant de te reprendre, finissant de faire glisser le short que tu gardais en mains, revenant t’asseoir sur lui, là où tu l’étais avant. C’était encore plus étrange à présent, plus chaud, plus agréable.

Ton regard plongé dans ses prunelles si magnifique, tu lui avais montré son short entre tes mains comme pour le narguer, avant de t’en débarrasser juste à côté de sa tête. Tu avais ta petite idée en tête, et si tu le provoquais ainsi, ce n’était que dans un seul but, le voir à nouveau jouer avec toi. Tu te saisissais de ses deux mains que tu posais chacune sur tes fesses tandis que toi, tu te penchais sur lui pour l’embrasser à nouveau.

Ce n’est qu’en te redressant que tu te laissais tomber en arrière sur le matelas, l’entrainant avec toi afin que lui se redresse et soi à nouveau de toi. Etrangement, tu aimais le savoir au-dessus, lui prêter ce pouvoir et te sentir à sa merci. Tu fixais son visage maintenant sur le tien, le laissant se replacer afin qu’il se sente à l’aise. Tu avais fait en sorte qu’il ne se rallonge pas sur toi. Tournant ta tête sur la droite, tu avais vu sa main posée sur le matelas. Tu avais inspiré profondément, prenant ta décision à présent, tu avais relevé ton bras pour que ta main se saisisse de la sienne. Tu te sentais soudainement moins à l’aise qu’avant, quand tu te jouais de lui. Peu à peu et timidement, tu avais guidé sa main jusqu’à ton boxer en direction de ton propre entre-jambe. Tu ne l’avais pas incité à te toucher, mais tu l’avais libéré de ton étreinte juste au-dessus, hochant timidement de la tête quand il semblait te demander l’autorisation. Tu voulais totalement t’offrir à lui comme il l’avait fait avec toi.


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Message par Aërsan Mar 11 Juin - 23:05

Comme je m'y attendais, il ne faut pas longtemps avant que je ne sente Eloan se mettre en mouvement pour reprendre le dessus. Tandis que je profitais du contact de son corps encore un peu plus découvert, j'ai senti sa main descendre le long de mon dos avant de s'arrêter en touchant l'élastique de mon short. Son expression s'est figé d'un seul coup. J'ai vu son sourire d'effacer pour laisser place à un air clairement mécontent, presque vexé que j'ai encore mon bas quand son caleçon se retrouve à l'air. Je ne peux pas me retenir de sourire, à la fois amusé mais aussi fier de lui avoir imposé cette petite avance.

Sans me laisser plus de temps pour savourer cette situation, il se redresse. Je me retrouve dans la même position que lui quelques instants plus tôt. Je ne me laisse pas démonter et lui souris encore plus franchement. Ce n'est cependant pas facile, surtout lorsqu'il m'embrasse dans le creux du cou. Au fil des minutes qui passent, il semble s'améliorer. Chacun de ses baisers est plus précis, plus doux et plus efficace. C'est comme s'il comprenait un peu mieux à chaque baiser comment me faire frissonner ou quels sont les points les plus sensibles de mon corps. Pour ne rien arranger, je sens son entrejambe appuyer doucement sur la mienne. Mon corps frémit à ce contact mais je m'obstine à continuer de défier le lionceau du regard.

Après m'avoir embrassé, il se redresse. Ses lèvres continuent de se promener sur mon torse alors que ses mains descendent lentement le long de ma poitrine puis de mon abdomen avant de rejoindre mon bas-ventre. Mon sourire vacille une seconde en sentant ses doigts se frayer un chemin sous mon short. Ses iris viennent se loger dans les miens avec leur propre lueur de défi, comme s'il m'incitait à tenter de l'empêcher de faire ce qu'il s'apprêtait à faire. Nous nous fixons quelques secondes sans céder quoi que ce soit à l'autre. L'exercice est cependant un peu plus compliqué pour moi qui ait une main dans mon short prête à saisir ce que j'ai de plus intime à n'importe quel moment. Une faible lueur d'hésitation apparaît dans mon regard. Il n'en faut pas plus pour l'inciter à passer à l'action. Sa main vient s'installer sur ma bosse qu'elle caresse avec ardeur. Aussitôt, l'émoi se ré-empare de moi. Je tente de soutenir son regard avec la même assurance mais cette sensation de fragilité m'enivre à nouveau et balaie la lueur taquine qui brillait dans mes yeux. Vaincu, je me laisse caresser de longues secondes, à la merci du lionceau. Finalement, il s'arrête. Ramenant mes coudes afin de me redresser, je m'apprête à tendre les bras vers lui afin de l'attirer à nouveau contre moi mais je suis stoppé net dans mon élan lorsque sa main vient se poser sur ma poitrine et qu'elle me maintient contre le matelas. Son sourire me fait comprendre qu'il n'a pas encore fini de s'amuser avec moi.

Son regard se dirige ensuite vers mon bas de pyjama. Etendu, je le regarde faire. Après tout, je lui ai enlevé le sien. Je ne m'attendais pas à conserver le mien longtemps après ça... Et ça ne manque pas. Ses mains viennent le saisir de chaque côté avant de l'entraîner vers mes chevilles. Mon caleçon se révèle alors. Bien qu'il l'ait plusieurs fois touché ce soir, le regard d'Eloan s'arrête sur lui. Ce n'est cependant plus une lueur de défi que je vois dans ses iris mais plutôt un éclat de surprise, d'hésitation ou quelque chose du genre. Sentir mon entrejambe ainsi regardé surtout par lui me met incroyablement mal à l'aise. Je détourne le regard en resserrant un peu mes jambes, comme si je pouvais la dissimuler entre mes cuisses... Est-ce qu'il est gêné ? Je ne suis sans doute pas comme il l'imaginait... Timidement, je risque un coup d'œil vers son visage, craignant d'y voir du dégoût ou de la déception.

Heureusement, il n'en est rien. Son visage reprend son air de défi et ses mains reprennent leur travail, me débarrassant définitivement de mon short. Tandis qu'il revient s'installer sur moi, je me détend. Soulagé qu'il n'ai pas mis fin à ce moment malgré la surprise qu'il a eut en regardant mon caleçon. Je me demande quand même ce qui l'a tant surpris... Il ne me semble pas que je sois si différent que lui à cet endroit...

Je n'y pense cependant pas plus en le voyant venir me narguer, agitant le vêtement qu'il vient de me prendre sous mon nez. Je me pince les lèvres d'un air faussement bougon devant sa provocation, reconnaissant tout de même qu'il m'avait bien eu sur ce coup.

Il laisse alors tomber mon short juste à côté de mon oreille avant de saisir mes mains pour les poser avec assurance sur ses fesses, semblant à présent complètement à l'aise avec ce contact à cet endroit pourtant intime. Puis il s'avance. Nos lèvres se retrouvent alors. Nous échangeons un baiser rapide mais intense avant qu'il ne se laisse glisser sur le côté, m'entraînant avec lui. Il m'arrête à mi-course tandis que lui s'étend sur le dos afin de me positionner au-dessus de lui. Appuyé sur ma main droite, je me penche au-dessus de lui tandis que la gauche se glisse dans ses cheveux afin de caresser sa crinière de lion et s'apprêtant à effleurer les traits fins de son visage.

C'est alors qu'il saisit mon poignet droit. Je me redresse un peu afin de ne plus être en appui de ce côté afin de ne pas tomber en avant alors qu'il l'emmène.

Je me fige en le regardant faire. Attendant de voir ce qu'il mijote. Mes yeux s'écarquillent cependant de surprise en le voyant laisser ma main juste au-dessus de sa bosse. Je tourne immédiatement la tête vers la sienne, questionnant son regard. Tout amusement avait quitté ses traits. Il semble tout aussi hésitant et effrayé que moi. Pourtant, il hoche légèrement la tête en tremblant pour m'inciter à y aller. Je ne peux m'empêcher de me demander s'il fait ça uniquement parce que je l'ai laissé me le faire pour parce qu'il en a vraiment envie. Je ne veux pas qu'il se sente obligé... Pourtant, je sais que si je recule il sera blessé. Tremblant, je commence donc à baisser ma main vers son entrejambe, obéissant à son souhait. Le voyant trembler aussi, je sens cependant mon cœur se serrer. Arrêtant mon geste, je glisse ma main restée dans ses cheveux derrière sa tête afin de la relever. Doucement, je baisse mon visage pour embrasser son front tendrement. Tandis que je cherche à l'apaiser, je recommence à descendre ma main vers ce contact qui nous effraie tant. Je ne tient pas à prolonger ce moment de stress plus que nécessaire.

Finalement, mes doigts touchent le tissu de son boxer. Ma paume se pose sur sa bosse si chaude. Alors que ma main en épouse la forme, je me sens soudain un peu idiot. Je ne sais pas quoi faire à cet instant précis. Je sens Eloan en proie à ces sensations que j'ai moi-même ressenti lorsque mon entrejambe se trouvait dans sa main. J'ai peur de mal faire. De lui faire mal ou de simplement ne pas lui procurer ce plaisir qu'il a su me faire ressentir. Me contentant au début de le caresser du bout des doigts comme s'il s'agissait d'une chose si fragile que la moindre pression pourrait la briser, j'essaie de me remémorer la façon dont mon ami s'y prenait avec moi, sans succès... Finalement, renonçant à l'idée de faire comme lui, je me lance timidement. Mes doigts se referment alors délicatement sur la bosse encore tendre. Pendant plusieurs secondes, je découvre le sexe du lionceau. Je le manipule, l'explorant un peu plus et le laissant remuer entre mes doigts. Plus je le touche, plus je le sens se raidir contre ma main. En moins d'une trentaine de secondes, sa bosse est aussi dure que la mienne. Elle grandit un peu plus à chaque instant, se retrouvant bien vite serrée dans sa prison de coton.

Je ne me lasse pas de le toucher, je sens même un désir ardent de continuer de  de le toucher monter en moi. C'est sa respiration courte qui m'interrompt. Baissant les yeux vers lui, je me sens soudain un peu coupable. Là où lui s'était arrêté au début afin de me laisser reprendre mon souffle et m'habituer à ce contact, je me suis laissé emballer par ce contact si intense. Glissant lentement au bas de sa bosse pour remonter la main le long de sa hanche, puis de son flanc avant de rejoindre son dos, je le redresse un peu pour pouvoir l'embrasser à nouveau. Lui souriant doucement, je caresse sa joue de mon autre main. Son regard brille dans la pénombre. Son visage est si beau ainsi que je pourrais passer des heures à le regarder. Le laissant se rallonger, j'enlève ma main de son dos afin de caresser un peu sa poitrine. L'envie se faisait toujours aussi pressante en moi, je finis cependant par lui sourire malicieusement en voyant qu'il a à peu près repris son souffle avant de laisser ma main descendre afin d'aller retrouver ses fesses que je caresse tendrement avant de remonter vicieusement entre ses jambes jusqu'à atteindre sa bosse par en-dessous. Mes doigts effleurent la base de son sexe ainsi que... ce qui se trouve avec. M'amusant à caresser cette zone entre sa bosse et ses fesses qui semble si sensible, je finis par me retirer puis, suivant la couture de son caleçon, je fais le tour de sa cuisse avant de pouvoir enfin retrouver son entrejambe. Je laisse glisser ma main dessus avec plus d'aisance cette fois-ci. Mon autre main est retournée se nicher au creux des mèches brunes d'Eloan. Continuant ainsi de caresser le cœur de son intimité, je me laisse aller à le regarder avec tendresse, écoutant son souffle et observant son visage comme pour être sur de le garder à jamais en mémoire.

Je finis par le libérer après un moment de caresses. Attendant que ses iris s'ouvrent à nouveau, je laisse ma main se promener sur le bas de son abdomen et sur ses hanches, laissant ainsi planer la menace sur sa bosse. Un sourire joueur renaît sur mes lèvres alors que je savoure d'avoir fait du lionceau ma proie...
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Message par Danael Lun 5 Aoû - 15:40

Tu ne savais pas encore ce que tu allais ressentir, ni comment tu allais vivre ce contact. Tu étais mal à l’aise, à l’idée qu’il découvre définitivement ton intimité la plus protégée, qu’il l’explore et tu étais en même temps incroyablement excité à l’idée de toutes ces sensations incroyables que tu allais ressentir. Tu essayais d’avoir l’air sûr de toi, mais tu ne parvenais pas à le tromper. Pourtant tu en mourrais d’envie, sans savoir comment l’exprimer. Tu étais sûr de toi, que c’était avec lui que tu voulais vivre ça. L’instant te paraissait interminable, tu te sentais impatient et en même temps tu craignais l’instant où ce moment arriverait. Sa main dans tes cheveux te rassurait, tu fermais les yeux en sentant sa main à l’arrière de ta tête puis ses lèvres sur ton front. Tendrement, tu te sentais déjà mieux, ta respiration se calmait et quand tu ouvrais les yeux, ton regard ne traduisait plus de la crainte, seulement un amour inconditionnel.

Finalement, ses doigts avaient touché le tissu de ton boxer, lentement, sa paume s’était posée sur ta bosse. Tu ne savais pas quoi ressentir, une excitation incroyable, une envie d’en découvrir plus. Tu ne ressentais d’abord pas grand-chose en réalité, si ce n’est un frisson d’excitation et ton membre réagissant à cette arrivée. Tu avais la sensation que ce n’était que le début. Tu en attendais encore, peut-être encore tous les deux sur la réserve. Pourtant à peine démarrait-il une caresse du bout des doigts qu’un plaisir immense te submergeait. Tu n’avais encore toi-même que très peu exploré cette partie de ton corps, et jamais jusqu’au bout. Cette main, pourtant t’offrait des sensations que tu n’avais jamais ressenti auparavant. A travers le tissu, il te faisait ressentir des choses que tu n’aurais même jamais imaginé. Et peu à peu, il prenait plus d’assurance, suivait son rythme, te laissant à la merci de chacun de ses mouvements. Ta bosse devenait de plus en plus raide, de plus en plus sensible à son contact aussi. Tes yeux se fermaient sous le plaisir que tu ressentais, si intense, incroyable, indescriptible. Tes doigts serraient fermement le duvet sur lequel vous étiez installés, ta respiration devenait plus courte, plus intense jusqu’à ce qu’il s’arrête. Presque soulagé que ça cesse, ne comprenant pas comment des caresses pouvaient autant te procurer de plaisir, tu voulais en même temps qu’il reprenne sans s’arrêter. Ton souffle se reprenait au rythme du déplacement de ses doigts, remontant le long de ta hanche, de ton flanc pour retrouver ton dos. Tu suivais ses directives en te redressant, l’embrassant avec passion. Son sourire était tellement innocent, tellement doux comparé au pouvoir qu’il avait entre ses mains. Il était si beau. Tellement beau.

Tu te rallongeais sans jamais le quitter des yeux, posant ta main sur la sienne lorsqu’il caresse ton torse. Pourquoi cet instant devait-il avoir une fin. Pourquoi ne pouvait-il pas durer éternellement. Son sourire malicieux te laissait entendre qu’il n’avait pas fini de s’amuser avec toi. Cette fois, c’est en direction de tes fesses que sa main s’aventure. Un soupire de satisfaction s’échappait de tes lèvres, tu restais passif, totalement à sa merci. Ses doigts descendent encore plus, plus bas que tes fesses pour remonter entre tes jambes, dans cette zone de ton corps à laquelle tu n’avais jamais vraiment donné d’importance. Tu avais tort. Ses doigts effleurent la base de ton intimité, explore les dernières pièces de ton service, caressant cette zone tout aussi agréable que le reste. Nathanael parvenait à transformer chaque parcelle de ton corps en une zone de plaisir intense. Il ne s’arrêtait pas là, suivant le tour de la couture de ton caleçon le long de ta cuisse, il revenait à l’assaut de ton intimité avec bien plus d’assurance. Il apprenait de secondes en secondes et devenait de plus en plus doué. Tu ne remarquais même pas son regard posé sur toi, tant les sensations étaient fortes. Tes yeux à nouveau fermé, il ne lui fallait pas bien longtemps pour te faire revenir à cet état de plaisir auquel il t’avait soustrait quelques minutes plutôt. Une nouvelle fois il s’arrêtait, laissant sa main se balader sur ton abdomen. Tu étais à sa merci. Tu le suppliais du regard de t’offrir plus, encore plus. Egoïstement, tu aurais pu lui rendre la pareil mais tu avais peur que le plaisir retombe. Mais cette troisième charge, ses doigts aux pouvoirs fantastiques continuaient de se jouer de toi. Des gémissements s’échappaient de tes lèvres sans que tu ne les contiennes et une sensation arrivait dans ton bas ventre. Soudainement, tu sentais quelques choses s’échapper de ton membre. Comme si tu te faisais pipi dessus, mais en différent, en plus éphémère mais bien plus intense. C’était la première fois pour toi que tu libérais ce liquide encore inconnu. « Je… Désolé… » Tu savais finalement ce que c’était et tu te sentais honteux de ne pas avoir pu te retenir. Tu te redressais posant tes mains sur ton caleçon humide. « Je… C’est venu tout seul… C’est dégoutant… »

Et c’est à cet instant que tu découvrais que Nathanael était encore plus formidable que tout ce que tu imaginais. C’est dire. Il trouvait les mots pour te rassurer, sans que tu ne te sentes honteux. Il te rassurait alors que tu ne lui avais même pas rendu la pareille. Tu ne t’en rendais pas compte sur l’instant, mais de nombreuses fois par la suite tu allais avoir l’envie de lui arracher ses vêtements pour pouvoir le mener à cette extase que tu avais connue. Mais à l’instant précis, tu te sentais encore un peu mal. Mais rassuré, c’était normal. Alors pour le remercier, tu t’étais jeté sur lui pour l’embrasser à nouveau, passionnément. Tu ne voulais pas que ce moment cesse sur une crainte. Chaque épreuve que vous traversiez ce concluait toujours par l’un de vous mal-à-l’aise. Pas cette fois-ci. Tu l’embrassais avec énergie, avec entrain tout en laissant tes mains sur balader sur son ventre. Caressant une dernière fois son torse, tu te décidais enfin à ne pas rester dans ton slip collant. « Je… Je vais remettre mon pantalon. » Tu le laissais à contre-cœur, mimant une fausse assurance pour aller sur le bord de la tente. Tu restais dos à lui, retirant ton boxer, laissant apparaitre tes fesses dans la pénombre, pour remettre un pantalon, son short. Sans rien en dessous, ça te rendait mal à l’aise de sentir ton membre maintenant au repos en liberté, mais tu ne voulais pas remettre ton grand pantalon. Tu restais ainsi, dans cette tenue et tu t’allongeais à côté de lui, enlaçant son torse de ton bras. Tu voulais dormir avec lui, sans tous vos vêtements pour vous éloigner, dans ses bras. Tu l’aimais. Tu le réalisais enfin. Tu l’aimais.
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Message par Aërsan Sam 24 Aoû - 19:58

Pendant un long et intense moment, je continue de caresser l'entrejambe d'Eloan avec passion, mon regard contemplant rêveusement son visage exprimant tant d'émotion.
Ses yeux se sont refermés lorsque mes doigts sont entrés à nouveau en contact avec la bosse brûlante qui déforme son boxer. Leur expression me reste cependant si clairement en mémoire qu'en fermant les miens, je pourrais les voir à nouveau. Il n'y avait plus la moindre peur ni inquiétude. J'y voyais toute cette incompréhension que j'ai moi-même ressenti lorsqu'il m'a caressé la première fois mais ils semblaient surtout m'inviter à continuer. Il n'y avait plus la moindre volonté de reprendre le dessus, de me contraindre à m'étendre sur le matelas pour qu'à son tour il puisse s'amuser avec moi en me faisant subir une nouvelle vague de ses caresses enivrantes. Cela dit, chez moi non plus il n'y a plus aucune volonté de m'amuser avec lui ou de le défier. Plus maintenant que j'ai repris mes caresses et que je suis tombé ainsi sous le charme de son visage si expressif. À cet instant, je souhaite seulement prendre soin de lui. Faire mon possible pour le maintenir dans cet état de plénitude dans lequel il se sent si bien et que son regard souhaitait tant.

Je ne me soucie pas du temps qui passe ou de mon entrejambe qui peu à peu retombe. Au contraire, je savoure chaque seconde de cette intimité que je partage avec lui comme le plus beau des cadeaux. Un tel moment n'arrivera peut-être plus après ça... Après ces vacances, nous ne pourrons certainement pas vive une telle relation au château... Qui sait quand nous pourrons nous revoir dans un tel cadre ?

Mon ami commence à gémir, me tirant de ces pensées tristes. Lui souriant, je me remets à caresser ses cheveux. Qu'est-ce qu'il est beau... Même après tout ce que nous venons de partager, j'ai du mal à croire que je promène mes mains si librement sur son corps magnifique...

Ses gémissement gagne en intensité et alors que son corps était parfaitement détendu, je le sens soudain se raidir. Surpris, je cligne des yeux avant de réaliser ce qui est sur le point de se passer. À travers son boxer, je sens son membre frémir. Je retire alors aussitôt ma main. Une demi-seconde plus tard, un léger bruit assez reconnaissable se fait entendre.

Cela semble avoir eu l'effet d'un seau d'eau gelée jeté au visage du lionceau. Son expression change soudainement, se teintant de gêne et de dégoût. Il se redresse en tâtant son boxer. Il se met à balbutier des excuses confuses. Je déteste le voir en proie à de tels sentiments. Je voudrais le voir à nouveau sourire, l'entendre à nouveau soupirer. Je veux le sentir heureux près de moi.

-Ne t'en fais pas, c'est normal. Ça finit toujours par arriver.

Peu m'importe que son boxer soit collant ou ce qu'il y a dedans. Je serais prêt à le caresser à nouveau s'il me le demandait. Même si mes mains sont légèrement gluantes après. Si c'est ce qu'il faut pour le voir sourire ou se détendre, je le ferais. Je suis même prêt à aller courir jusqu'à la maison pour aller lui chercher un caleçon propre si cela peut l'aider à être plus à l'aise. Face à tout l'amour, toute la tendresse, tout l'émoi qu'il m'a offert ce soir, je pourrais faire tout ce qu'il me demandera si ça peut l'aider à se sentir mieux.

-Moi aussi j'ai eu peur la première fois que ça m'est arrivé... Ça veut juste dire qu'on grandit. Ça ne change rien à ce qu'on est ni à ce qu'on ressent...

M'approchant doucement, je tends les bras pour pouvoir les passer dans son dos. L'attirant contre moi avec tendresse, je laisse sa tête reposer sur mon épaule. Silencieusement, je nous laisse balancer légèrement de gauche à droite comme pour le bercer. Je sens mon cœur brûler dans ma poitrine. Je n'ai jamais senti autant de choses en étant en si petit comité. D'ordinaire, je ne me sens noyé sous toutes ces émotions quand je suis au milieu d'une foule. Là, c'est comme si Eloan exprimait et suscitait en moi autant d'émotions qu'un milliers de personnes. Je n'arrive pas à le décrire. C'est tellement agréable. Je ressens tellement de tendresse. Je rêverais de pouvoir le serrer dans mes bras, de l'embrasser, de caresser son corps dont je suis tombé amoureux, de lui dire à quel point je l'aime...

-Je t'aime Eloan... murmuré-je dans son cou.

Je sens une larme rouler sous ma joue. C'est nul. J'ai toujours été ce garçon qui pleure pour un rien. J'ai toujours eu honte d'être ce pleurnichard craintif mais cette fois-ci, je laisse aller ces larmes. Elles ne viennent ni de la peur, ni de la tristesse. Seulement de l'amour que je ressens envers lui. Un sentiment que je ne saurais exprimer seulement avec des mots ou des caresses qui a besoin de s'exprimer à travers tout mon corps.

-Je t'aime tellement...

Il s'anime, se redresse. Ses émeraudes brillantes viennent se déposer dans mes iris humides. Soudain, il me ramène contre lui pour m'embrasser. Surpris, je reste quelques secondes stupéfait tandis qu'il m'offre un baiser fougueux avant de m'abandonner à ses lèvres. Ses mains viennent caresser la peau de mon ventre refroidie par les courants d'air. Ses doigts laissent derrière eux une sorte d'énergie sous ma peau suscitant des frissons là où elle se répand. Finalement, nos lèvres se détachent. Je me recule un peu, le regard empli de reconnaissance. Du revers de la main, j'essuie le sillon humide tracé sur ma joue. Un effort vain puisque celui-ci se redessine quelques secondes plus tard.

Il annonce alors qu'il va remettre un pantalon. Je cligne des yeux avant d'aquiescer. Bien sur ! Il ne va tout de même pas rester dans son boxer collant. Ce doit être très désagréable pour lui. Et pourtant... Malgré ça, il a pris le temps de me prendre dans ses bras et de m'embrasser une nouvelle fois. Même dans l'embarras, il prend soin de moi... J'ai tellement de chance que ce soit Eloan.

Le voyant se détourner et s'apprêter à enlever son sous-vêtement, je tourne la tête moi aussi par reflexe. S'il s'est éloigné, c'est qu'il ne veut pas que je le vois ainsi, non ? Ou si ? Non. Il ne se serait pas éloigné s'il avait voulu que je le vois...

La tentation se fait cependant de plus en plus forte. À tel point que je finis pas céder pour jeter un petit coup d'œil en coin. Après tout, si j'ai déjà caressé ses fesses, quel mal y aurait-il à ce que je les vois ?

Hélas, son affaire est déjà terminée et je le vois non sans une pointe de déception honteuse en train d'ajuster l'élastique de mon short autour de ses hanche. Comprenant qu'il va se retourner, je reprends ma position.

Je reste immobile, un sourire au lèvres tandis que je l'entends approcher. Il pose sa main sur mon épaule pour me faire signe que c'est bon. Je lui fais alors face.

Nous nous allongeons alors, l'un contre l'autre. Mon corps épousant la forme du sien. Son bras passé par-dessus lui repose contre sa poitrine, ma main dans la sienne. L'autre est glissé sous son oreiller est sent la pression de sa tête sur lui. Déposant un ultime baiser dans son cou, je murmure :

-Bonne nuit Eloan... À demain.

Cette fois-ci, aucun de nous deux n'a bougé. Immobiles et enlacés l'un contre l'autre, nous sommes restés à écouter la respiration de l'autre jusqu'à ce que le sommeil vienne nous emporter avec lui.
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